Ayant déjà parlé chez Third Éditions de l’une de ses passions premières à travers Le Mythe Star Wars – Épisodes VII, VIII & IX – Disney et l’héritage de George Lucas, Thibault Claudel vient en dépeindre une autre. Celle du wargame et de ses figurines célébrant , non pas son 40 000e mais 40e anniversaire, via Dans les méandres de Warhammer 40,000 – Sculpter la guerre.
En tant que féru de la franchise de Games Workshop depuis longtemps et assez jeune, l’auteur nous replonge, en plus de la facette historique, au sein d’une certaine nostalgie. La sienne dans un premier temps, savamment écrite afin de confier envie à un plus grand nombre de poursuivre la lecture.
Car si le marteau de guerre est la licence la plus forte du genre, elle reste dans l’imaginaire inaccessible pour énormément de monde. Craignant autant l’énorme temps pris pour apprendre les moult règles, si on décide d’y jouer. Mais également tout l’aspect personnalisation des personnages, suffisant pour beaucoup. Sans omettre la colossale collection éventuelle.
Une dimension nostalgique se mêlant continuellement à l’histoire de la saga Tant par l’évolution de l’entreprise, que du jeu. Y compris par sa transition de Rogue Trader, au nom connu aujourd’hui. Et également de ses boutiques spécialisées. On en découvre ainsi tant sur les décisions, les anecdotes plus ou moins importantes, que sur des points symboliques d’époque. Faisant assurément la différence.
Les contextes historiques remontent même parfois à très loin. En vue de nous éveiller aux origines, ou tout du moins aux plus connues, des aspects de Warhammer 40,000. En allant des prémices des jeux de guerre stratégiques, à la création de miniatures. Permettant ainsi d’intéresser de manière généraliste à ces sujets. Et non de les observer uniquement par le prisme de la marque en question. Qui le sera toutefois bien sûr pleinement, dont par ses identités visuelles et ludiques. Et aussi son déploiement sur les terrains littéraires et vidéoludiques.
Votre choix de version vous entraînera soit vers un type logo, pour la couverture de France Mansiaux. À laquelle s’ajoute une en plein action pour la first print, par l’illustration de Diego Gisbert Llorens.
Conclusion
Fignolé comme une troupe de Space Marines, Dans les méandres de Warhammer 40,000 – Sculpter la guerre intriguera au-delà du parterre des accros de la saga. Grâce aux multiples détails historiques globaux, que traverse la route de Games Workshop et Warhammer.