À cheval entre un précédent volet, datant tout de même d’il y a 4 ans et un film à paraître en 2026, Les Gendarmes T18 Le poids des mots (Bamboo Édition), scénarisé par Christophe Cazenove et Olivier Sulpice, replace la saga sur nos radars. Avec même l’arrivée d’un nouveau dessinateur : Bast.
Ce retour dans les paddocks de la B.D. connaît comme thématique récurrente, un tour épique vers l’hippique. Nos chevronnés enquêteurs montreront ainsi le bout de leur crinière, dans le poussiéreux milieu des turfistes.
Loin des hippodromes et des magouilles de courses, la fine équipe ne fait jamais d’excès de zèle. On y découvre ainsi son quotidien, entre autres des arrestations face à des malandrins pas toujours bien inspirés eux non plus. Tel un yogiste, qui tentera de s’échapper à sa manière.
Le boulot de tous les jours, ce sont également des interrogatoires plus ou moins musclés. Avec des techniques davantage modernes, notamment psychologiques. Cependant, l’art ne sera pas en reste. Car pour retrouver de vils gredins, portrait-robot et artiste de talent derrière, s’avèrent indispensables.
Conclusion
Nous restons toujours menotté.e.s à l’humour autour des forces de l’ordre. Les Gendarmes T18 Le poids des mots sait amuser, dans un domaine pourtant pas foncièrement drôle de prime abord.

