Chronique jeu de société Qu’en dira-t-on

Qu’en dira-t-on (frivole / Gigamic) d’Anatole Dhuicque et mis en forme par Constantin Mironesco, annonce la couleur. Voulant créer de l’ambiance autant pendant la partie, qu’après.

Qu'en dira-t-on
Un potentiel mix de connaissances de son entourage et de déduction, s’affirme comme sa base. Les jusqu’à une douzaine de joueuses et joueurs, débuteront en inscrivant plus ou moins de noms, 30 envisageables, sur les cartes vierges. Effaçables bien entendu, pour une réutilisation infinie de par le principe de Qu’en dira-t-on.

Les noms pouvant s’avérer ceux de proches, de célébrités, de personnages de fiction… L’ouverture est totale. Mais devient beaucoup plus drôle et surtout, impacte les débats et les jours suivants, lorsque nous choisissons des personnes du cercle familial, amical, professionnel… Et a fortiori, présentes autour de la table !

Qu'en dira-t-on

L’un.e d’entre nous est choisi.e en tant que maître.sse de jeu et sélectionnera secrètement, un des noms figurant parmi les proposés. L’ensemble reste lui visible pour tout le monde. Les autres devront trouver de qui il s’agit, en piochant des cartes question. À chaque manche, la/le MJ répondra par oui ou non, selon ce qu’il en est du protagoniste qu’elle ou il a en tête.

Encore faudra-t-il le savoir, tant les interrogations peuvent s’avérer intimes, rigolotes, surprenantes… Suite à quoi en face, on éliminera les noms qui ne correspondent pas à l’allégation. Évidemment, le doute et l’erreur sont possibles. Par conséquent, si on élimine la pourtant cible, la partie est perdue. Il faudra aller au bout en enchaînant les questions. Et qu’il ne reste plus que le nom tant recherché.

Qu'en dira-t-on

Conclusion

D’un format efficace pour s’éclater, plus encore en collaboration, Qu’en dira-t-on approfondit l’expérience, même en aval. Avec tout ce qui sera dévoilé sur autrui, pouvant susciter des débats et rigolades.