Le classique de tout shônen de combat, un tournoi, sonne sa 2e manche avec Satan 666 T9 (Kurokawa) ! Seishi Kishimoto, traduit par Pierre Giner, ayant su nous laisser sur une certaine surprise.
Suite aux bastons en bataille royale dans plusieurs arènes fermées, les résultats de nos 2 camarades se sont avérés fortement disparates. Néanmoins, attention lisez les précédents volumes avant cette révélation : l’éliminé dans un premier temps, sera requalifié. Vous en découvrirez la raison. Qui par ailleurs, n’annonce rien de bon au sujet des rencontres qu’on peut faire en ces lieux.
Parmi les combattant.e.s restant à affronter, en sachant que cette nouvelle phase se déroule par des duels, on en découvrira risquant de s’avérer particulièrement ignobles. Toutefois, d’autres prêt.e.s à tout pour également l’emporter, se lieront peut-être à notre bande au niveau relationnel. Plusieurs possédant un but précis non infamant, pour gagner cette compétition. Dont la potentielle victoire s’avère alléchante.
Parallèlement, le et même les mystères autour de la cité de Rockbird, renforcent la curiosité, les doutes et la véhémence de notre troupe envers les lieux. Plus exactement, envers sa société de la haute et son dirigeant Icaros. Les personnes de la haute n’ont d’ailleurs jamais aussi bien porté leur nom. Puisque le fossé entre les classes se creuse littéralement, en dépensant sans compter pour s’élever pas seulement socialement, mais également dans son habitat placé plus haut. Loin du peuple d’en bas, qui ne vaut rien selon cette folie dogmatique instaurée.
Conclusion
Puisant dans un nouvel aspect social, Satan 666 T9 va plus loin que l’enfilade de bastons, elle-même grandement teintée de sentiments.