Yasushi Baba, traduit par Jasmine Bretcha, continue de nous faire voyager entre divers univers de la fantasy se reliant, au cours de The ride-on King T7 (Kurokawa). Mais comme souvent chez cette franchise, des messages tenteront de vous faire aller au-delà des combats.
Il s’avère assez symbolique de constater que parmi la pluralité des personnages croisés tout au long de la licence, les titanesques créatures, puissant.e.s adeptes de sorcellerie, celles et ceux misant sur l’énorme force pure, les armées en nombre… Finalement la plus grande menace s’avère d’une infime taille. Ce qui finalement se voit moins et caché en amont, se trouve souvent être le pire danger. On l’avait précédemment remarqué et on constatera en fil rouge, que l’inébranlable Ploutinov rencontre peut-être là son pire ennemi.
Parallèlement aux miasmes et d’ailleurs, plus précisément, ceux-ci se retrouveront implémentés aux batailles que connaîtra notre bande sur ce tome, l’empereur et ce qu’il reste de la bande, poursuit ses explorations. Avec, conjointement aux bastons, pas forcément en tant que leur conclusion, nous aurons droit à des discours symboliques du héros. Désirant voir tout le monde sur un pied d’égalité, capable de construire sa vie, être maître.sse de soi-même… Et non répondre aux ordres d’une personne se croyant au-dessus.
En parlant de supériorité, une nouvelle rencontre avec des oiseaux humanoïdes, en montrera des personnages assez hautains. Plus encore par rapport à leur relation envers les reptiles, dont les dragons. Tout en distinguant de notre côté des agissements dans l’ombre, néanmoins en ignorant encore de quoi il en retourne. Si des alliances se créeront, poussant le curseur familial, qu’en sera-t-il de cette étonnante civilisation pas seulement composée de volatiles ? Les mystères s’y ressentent !
Conclusion
La démence de puissance traversant apparemment tous les mondes surnaturels possibles, ne faiblit durant The ride-on King T7. Mais cette touche de sentiments et de libération des peuples, en les motivant à ne plus se laisser dominer, rend l’aventure plus intéressante que juste de l’action à atmosphère fantastique.