Bien que tantôt l’humour et le touchant figurent dans l’œuvre romancée de Fuse, sur une traduction de Gaëlle Ruel, et par conséquent son pendant manga signé Taiki Kawakami, traduit par Erica Moriya, et la conception des personnages par Mitz Vah, Moi, quand je me réincarne en Slime T14 s’avère sans aucun doute l’un des épisodes les plus violents.
Plusieurs batailles, de plus ou moins grande ampleur, prendront place quasiment tout au long de l’ouvrage. Peu de temps de repos, tant pour nous, que les personnages, qu’immédiatement un autre combat se lance. On ne pourra donc vous révéler grand-chose à propos de l’histoire, tant elle met en exergue des affrontements féroces et génocidaires. Vous en confier ne serait-ce qu’un chouïa, vous donnerait rapidement les résultats. Voire les rebondissements, en évoquant la présence du suivant. En revanche on peut vous dévoiler que le seigneur Limule se trouvera face à une opposition massive. Cependant, cela ne semble lui faire peur et il est prêt à tout pour atteindre son objectif. On s’en rend compte au travers d’attaques titanesques et sanglantes.
L’aventure en sera parsemée, mais pas que de son fait. Hormis ceci, les bastons mettront en avant les capacités spéciales de divers protagonistes, avec d’incessantes feintes pour réussir à s’en sortir face à l’adversité. Reste à voir qui seront les plus habiles. Y compris lorsque la donne parait déséquilibrée, avec l’apparition de Daemons très particuliers. Le temps presse pour avoir une chance de les repousser et pas sûr que cela suffise.
Et comme à l’accoutumée, on retrouve autour du manga, moult bonus, dont un mini roman. Ainsi que des gags d’une page, dont un toujours dans l’excellent sujet des personnages rivalisant pour la une. Ou encore de la nourriture slime, en 4e de couverture.
Conclusion
Ne vous attendez pas à trop de slime dégoulinant de pâtisseries cette fois-ci. Moi, quand je me réincarne en Slime T14 fera lui gicler le sang et imposera ses menaces pour la suite.