King Bradley surveillant désormais (officiellement) d’aussi près les frères Elric, qu’on suit leurs aventures, on se demande par quel truchement Hiromu Arakawa, traduite par Fabien Vautrin, les fera passer pour perdurer dans leurs objectifs durant Fullmetal Alchemist Perfect T11.
C’est un terrible pan de l’histoire, qu’on découvrira plus en profondeur d’emblée. En parallèle, Alphonse chez Knox et Ed chez Hawkeye, se voient confier de tout autant précieuses, que terribles et émouvantes informations à propos de la guerre d’Ishval. Aucun ménagement et l’on a envie de dire tant mieux. Car même s’ils restent petits jeunes, ce dans quoi ils ont déjà mis les pieds, les a depuis longtemps fait passer d’un autre côté de ce monde. Les voyant se confronter directement aux pires horreurs.
Par d’autres biais, on nous glissera d’autres renseignements sur cette période. Dont la folie de Kimblee, qu’on apprendra à connaître. Tant dans son présent, que son passé au cours de ce même génocide. Ce personnage dont l’histoire croise directement celle de Scarr. Pour une fois, dur de lui en vouloir de s’en prendre à un alchimiste d’état. Surtout que sa raison collective et personnelle habituellement utilisée, touche véritablement cette fois-ci sa cible.
Le passé et le présent de Roy seront également entremêlés. Permettant d’en savoir plus sur le déclic l’ayant poussé à vouloir atteindre les sommets. Tout comme la difficulté de s’entourer de personnes de confiance. Et on constatera, avec méfiance et rigolade, qu’il a encore des atouts dans son gant, malgré la dispersion forcée de son unité.
Pendant ce temps, les frangins réunis chercheront à en apprendre davantage sur une autre technique d’alchimie, pour faire face aux homonculus. Les menant vers de potentiel.le.s autres allié.e.s. Enfin ça, rien n’est moins sûr. Quoi qu’il en soit, ces nouvelles rencontres s’avèreront aussi percutantes au niveau action, que rocambolesques en ce qui concernent l’humour.
Conclusion
Les mystères ne sont pas proches de manquer. Fullmetal Alchemist Perfect T11 apporte sa contribution dans le domaine. Et nous fait en outre rencontrer des protagonistes complètement délirants. Tant du sympathique, que du beaucoup moins et surtout de l’entredeux.