Chronique manga Soul Eater Perfect Edition T3

Laisserez-vous Soul Eater Perfect Edition T3 (Kurokawa) vous dévorer ? Ou bien privilégierez-vous de rester emprisonné.e dans l’œuvre d’Atsushi Ohkubo, traduite par Fabien Vautrin ?

Soul Eater Perfect Edition T3

Un prisonnier dont le monde a depuis le temps oublié jusqu’à son nom, refait surface sous l’égide des sorcières ayant Shibusen pour objectif. Et plus spécifiquement Medusa. La particularité première de ce désormais ex-taulard, hilarant lors de son évasion, vous sera rapidement dévoilée. Vous la constaterez même en plein combat après sortie de prison, puis bientôt face à nos jeunes faucheuses et faucheurs d’âme.

Il ne s’agit cependant pas du seul problème devant lequel se trouveront ces dernières et derniers. Concernant Maka et Soul, une difficulté à accorder leurs longueurs d’âmes, risque de leur coûter gros ! Même aux côtés de Black*Star et Tsubaki, duo nécessitant également de s’entraîner encore, face à un tel ennemi.

Death The Kid et ses deux armes, auront aussi leur premier combat du tome à mener, sur un bateau plus si beau. Laissant entrevoir au fils du Maître Shinigami, le mystère entourant l’établissement dirigé par son père. Ou plutôt celui sur lequel il se situe. D’ailleurs après un examen digne du film Les Sous-Doués, Shibusen célébrera l’anniversaire de sa fondation. Avec des invité.e.s surprises venant casser l’ambiance et aux cadeaux pas vraiment sur la liste.

En tant qu’édition spéciale, celle-ci agrémente l’ouvrage d’illustrations colorées. Dont certaines dans un style complètement dément. Ce qui colle comme il se doit à la licence.

Conclusion

Le délire et l’action de Soul Eater Perfect Edition T3, se coordonnent comme les équipes du manga le doivent. Mais qui en est la ou le Meister ?