Chronique jeu de société Linkx

Un lien fort se créera-t-il entre vous et le jeu de Robert E C Coleman : Linkx (Blue Orange) ? Abordons le sujet dès à présent.

Linkx

Parmi les casse-têtes, existent une telle variété et à la fois de nombreuses similarités, qu’il s’avère délicat de trouver sa propre identité. Chez celui-ci, nous disposons d’un tableau commun. Au sein duquel on insérera progressivement nos diverses formes, en face-à-face.

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Les deux adversaires en possèdent 14. Cependant, au fur et à mesure des déplacements, les vertes et les blanches s’entraveront. Tout en essayant d’atteindre l’objectif. À savoir, réussir à relier deux bords opposés. Et si personne n’y arrive, la plus grande forme d’un coloris, désignera la ou le gagnant.e.

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Pour le but premier, nul besoin d’une réussite rectiligne. On pourra bien entendu l’accomplir en serpentant. Tant que les carrés de notre couleur sont adjacents, y compris en diagonale.

Il s’agira tout de même de respecter quelques conditions, lors de l’ajout d’un bloc. Sans quoi, on zappera son tour. En l’occurrence, ne pas jouer celui identique à sa/son rival.e juste après. Ainsi que de ne jamais dépasser le sommet. Et ne pas laisser d’espace vide, dans une aire fermée tout autour. Ce qui ouvre un ample champ de décisions stratégiques.

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La qualité du matériel est aussi au programme. Autant les pièces, que le cadre, l’ensemble s’avérant en plus fin et léger, il devient aisément transportable.

Conclusion

Ne vous cassez plus la tête, si vous êtes en quête d’un jeu de réflexion. Linkx se comprend instantanément et son efficacité ne se tarie point au fil des affrontements.