Chronique jeu de société Tangram City

À chaque jeu d’Uwe Rosenberg, c’est la tuile ! Puisqu’il a l’habitude de n’en créer que de très bons, on ne sait jamais lequel choisir. En sera t-il toujours de même avec Tangram City (Atalia / Huch!), illustré par Makoto Takami ?

Tangram City

En tant qu’urbanistes, nous construirons une ville harmonieuse, à la demande de la reine. Au fur et à mesure des tuiles à débloquer, il s’agira d’accomplir le plus grand rectangle à chacune des 6 manches, pour valider les points en corrélation. La personne avec le plus haut score, l’emportera. En marge de l’existence d’un mode solo.

Tangram City

La distribution de cartes ville, s’effectue de manières distinctes selon la quantité de joueuses et de joueurs. Sachant que l’on peut évoluer jusqu’à 5. Quatre tombent ainsi à chaque tour. Entre don à une personne, une commune à plusieurs et d’autres laissées au centre, face visible ou cachée selon les cas.

Tangram City

Les détentrices/eurs d’un élément dissimulé, bénéficieront donc d’une information au préalable, en jetant un œil sur son identité.
On évoluera d’abord via la ou les cartes communes à tout le monde. Puis avec celles personnelles, dans l’ordre de selon qui détient le jeton de départ. Ce dernier à glaner à la fin des manches, en possédant le plus haut total provisoire.

Tangram City

À partir des cartes sorties, on se saisira de la tuile correspondante dans son tas. Tout du moins, si on décide de l’inclure, ou non dans sa ville. Et on choisira son côté nature ou construction. Le but étant d’équilibrer la quantité des deux genres, sur des cases complètes. Afin d’engranger un maximum de bonus, lors du final.

Tangram City

On disposera ensuite une tuile fontaine qui, en association sur une case avec un triangle nature ou construction, comptera comme celui-ci. Soit un aspect stratégique encore plus poussé.

Conclusion

Accueillant tout le monde au sein de sa ville ludique, Tangram City se comprend instantanément, mais s’avère tout autant un jeu de placement élaboré.