Nouveau volume, voire peut-être nouveau tube avec le volume poussé à fond, de la version revisitée par Emi Mitsuki, traduite par Xavière Daumarie, de notre merveilleuse idole, avec Dans l’ombre de Creamy T3 (Kurokawa).
Quoi que si vous n’avez d’yeux que pour Creamy, sachez cette fois-ci que le manga se consacrera à une période où elle n’existait pas. On se plongera dans l’avant carrière de Megumi Ayase. Alors qu’à l’époque le père de Shingo Tachibana, président de Parthenon Production, ne croit en la jeune fille et en son fils pour assurer dans le métier, par son actuel caractère.
Toutefois, on le sait depuis le précédent épisode, s’il réussit a bien travailler avec Ina et la porter à ses débuts sur scène, avec succès il vaudrait mieux, il pourra faire débuter Megumi. Mais sans être catastrophique, sa protégée imposée n’est pas des plus douées et ne lui inspire rien. Elle se trouve juste là grâce à l’argent de son grand-père, accepté par le père de Shingo. Notre héros prêt à tout tant il voit l’Idole avec un grand I, en regardant Megumi, s’y pliera, avec ce but secret. Enfin secret…
Pendant ce temps, les autres idoles du label sur la touche, montent des plans pour évincer leurs concurrentes. Dont un avec le fameux Snake Joe, toujours prêt à faire jaillir la vérité et cracher les billets. Cependant l’humour sera également sur la set-list, avec notamment un Kidokoro déjà très drôle, mais aussi touchant. Alors que ses tortionnaires du présent, étaient plus sympathiques à l’époque.
Bien que l’amusement figure au programme, Dans l’ombre de Creamy T3 renforce surtout la facette touchante, mais également très dure du manga. Avec un monde du show-business impitoyable à tous les étages.