Bien qu’on rigole durant les péripéties légères de la testeuse/influenceuse de ce pendant de la série de Fuse, aux personnages designés par Mitz Vah, Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T5 de Shô Okagiri, traduit par Jasmine Bretcha, nous entraînera vers un emballement peut-être trop fort, sur ses publications sponsorisées.
On se souviens lors du terme du précédent numéro, que Flamea s’était trop lâchée via sa carte de crédit. Même si le roi-démon lui a confiée et qu’il a instauré ce système, ses dépenses pharaoniques, se répercutent sur ses finances. Bien entendu si des impôts sont versés, au final ces personnes auront été payées avec leur propre argent, grâce à un cercle vicieux. Mais aussi celui des autres, car vraiment le total pour quelques marchand.e.s explose tout.
Limule pourrait distinguer là une bonne occasion de voir prospérer le commerce, il ne faut cependant abuser ! Ce que Veldra et Lamrys ne se gênent en revanche de faire. Et vous constaterez qu’il ne s’agit pas uniquement de dépenser plus, pour bosser moins.
En effet, de drôles d’agissements font surface au sein de Tempest. Plus exactement dans ses bas-fonds. Des sociétés secrètes semblent s’établir, entre fanatisme, clichés volés, paris et combats clandestins. Non sans humour bien sûr chez cette saga. Tout comme la venue d’émissaires, attirés par les évènements et la popularité de notre héroïne. Pendant leur rencontre, une pensée d’un autre personnage fut carrément notre moment favori. Mais on vous laisse la surprise surgir !
Conclusion
Les protagonistes de ce monde adorant manger, il y a de quoi se payer une bonne tranche de rigolade, avec Moi, quand je me réincarne en slime – Comment vivre chez les monstres T5.