Parmi les météores récemment degainés chez la franchise de Masami Kurumadala, se perçoit le nouvel épisode de l’aventure du côté obscur. Saint Seiya Dark Wing T5 Les Chevaliers du Zodiaque (Kurokawa) de Kenji Saito (auteur) et Shinshu Ueda (dessinateur), traduit par Xavière Daumarie, étant bien là et non une illusion du phénix.
La discrétion censée s’avérer de mise pour les Chevaliers d’Or, infiltré.e.s en tant que lycéen.ne.s, est loin d’être correctement tenue par tout le monde. Spécifiquement par celle du Scorpion, Eulalia, en faisant des caisses. D’ailleurs son caractère et ses délires, démontrent l’identité très différente dans le ton de cette série annexe, par rapport à celle canon ou même Lost Canvas. Même si l’humour existait déjà dans ces mangas.
Toutefois, le sérieux n’est pas en reste. L’alliance des Spectres avec les protectrices et protecteurs d’Athéna, s’articulant notamment autour de la notion de confiance, s’avère particulièrement intéressant. D’autant plus par les liens de proximité entre les protagonistes, par rapport à leur vie d’avant éveil sous ces rôles. Mais figurant désormais dans des camps historiquement opposés.
Le grand adversaire commun commence à voir ses troupes de plus en plus déployées. Le faux dieu Demiurgos, voyant le spectre du Griffon s’éveiller. Mais lequel des deux tire le mieux les ficelles ?
Conclusion
Bien que l’aiguille écarlate affronte les ficelles, Saint Seiya Dark Wing T5 Les Chevaliers du Zodiaque n’est pas cousu de fil blanc. Les féroces mystères, ponctuant toujours les combats.