L’avalanche de bastons vient frapper à la porte de Soul Eater Perfect Edition T4 (Kurokawa). L’édition « plus » de l’oeuvre d’Atsushi Ohkubo, traduite par Fabien Vautrin.
Le réveil de l’apparent plus démoniaque mal qu’il puisse exister, semble n’être plus qu’à quelques encablures. Encore faut-il que Medusa et ses sbires atteignent son lieu de repos, pour lui injecter une grosse dose du fameux sang noir.
D’ailleurs le décapant humour de la licence, se ressent même par ce biais. Précisément par son gigantesque outil d’exécution, dont on vous laissera la surprise. Néanmoins, nos jeunes héroïnes et héros, ainsi que les deux adultes réunifiés dans leur amitié, tenteront de les en empêcher en divers endroits du labyrinthique souterrain.
Des batailles permettant d’en apprendre davantage sur les capacités et personnalités de Maka, Soul, Black*Star et Tsubaki. Tout le monde s’y dévoilant à fond, pour endiguer la menace imminente. Quitte à prendre des risques, capables de les faire basculer dans la folie ambiante. Une facette trouble dont on ressent les prémices et nous laissant imaginer les dingueries pouvant survenir dans le domaine, lors des prochains tomes.
Au-delà de la bagarre, la facette émotionnelle, tant amicale que familiale, s’avère également omniprésente. Elle pourrait même devenir la clé de multiples situations. En plus d’insuffler un côté touchant, sans discontinuer.
Conclusion
L’énergie sans faille de Soul Eater Perfect Edition T4, n’écrase cependant pas sa dimension dramatique. Et le véritable virage qu’est le final de ce volet, devrait l’accentuer pour le meilleur.