Chronique manga Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6

Les aventures adaptées par Itsuki Nanao, du roman de Jougi Shiraishi, sur un chara-design d’Azure, se clôturent au travers de Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6 (Kurokawa), traduit par Gaëlle Ruel. Un tour de passe-passe ou un véritablement envoûtement à venir ? 

Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6

D’une certaine manière, la fin de cette série reflète les émotions des lectrices et lecteurs. Elaina et son maître en sorcellerie, replongeant dans leurs souvenirs, via le voyage spacio-temporel qui les attend. À l’instar de ceux que nous pouvons ressentir, à l’approche de la conclusion de ce parcours.

En revanche, pour nous tout reste de la nouveauté. Puisqu’elles y jalonneront la genèse de leur relation et de l’apprentissage de l’une vers l’autre. Avant que notre héroïne, ne devienne tout autant rompue au métier. Et sache également transmettre son savoir, à une apprentie.

La doublette bloquée au beau milieu d’un bouquin, nous délivrera ainsi d’ultimes péripéties. Suivies elles-mêmes par le biais d’un livre. Soit à nouveau un parallèle, avec notre propre rapport envers ce final.

Conclusion

Souvent bouleversant, ce manga nous laisse sur une note de nostalgie touchante, avec Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6.