Les aventures adaptées par Itsuki Nanao, du roman de Jougi Shiraishi, sur un chara-design d’Azure, se clôturent au travers de Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6 (Kurokawa), traduit par Gaëlle Ruel. Un tour de passe-passe ou un véritablement envoûtement à venir ?
D’une certaine manière, la fin de cette série reflète les émotions des lectrices et lecteurs. Elaina et son maître en sorcellerie, replongeant dans leurs souvenirs, via le voyage spacio-temporel qui les attend. À l’instar de ceux que nous pouvons ressentir, à l’approche de la conclusion de ce parcours.
En revanche, pour nous tout reste de la nouveauté. Puisqu’elles y jalonneront la genèse de leur relation et de l’apprentissage de l’une vers l’autre. Avant que notre héroïne, ne devienne tout autant rompue au métier. Et sache également transmettre son savoir, à une apprentie.
La doublette bloquée au beau milieu d’un bouquin, nous délivrera ainsi d’ultimes péripéties. Suivies elles-mêmes par le biais d’un livre. Soit à nouveau un parallèle, avec notre propre rapport envers ce final.
Conclusion
Souvent bouleversant, ce manga nous laisse sur une note de nostalgie touchante, avec Wandering Witch Voyages d’une sorcière T6.