Moins de 10 jours avant la fin, non pas de l’univers, ça c’est juste dans 15 jours. Non, avant le terme du Kickstarter d’UnderWorld, lancé par Key Card Studio !
Le monde d’UndeWorld est régit par 8 factions possédant des super pouvoirs, mais rares sont les personnes dans la confidence. Cependant ces temps sont révolus. Chacune désirant dominer les autres factions et les lieux.
Prenant la forme d’un duel, du moins dans sa version de base et à 4 avec l’extension permettant d’évoluer à 2 contre 2, UnderWorld propose divers biais pour atteindre son objectif. Tant en battant ses adversaires, soit une méthode classique. Mais également en étendant son influence au travers des districts en jeu. Ces différents procédés ramenant des points. Dès que l’on en aura acquis 8, on l’emportera.
La variété des factions est la première force d’UnderWorld. On va de mages, à des vampires, en passant par des marcheurs de rêves, des chasseurs, une organisation nationale… Toutes usant de techniques différentes. Entre pouvoirs, armes, puissance physique… Ces factions s’avérant représentées par des personnages. Mais il ne s’agira pas du seul type de cartes, en marge des dix zones.
On retrouve ainsi des cartes accessoires, améliorant ses protagonistes, tout autant qu’elles peuvent affaiblir d’autres éléments. Il ne sera néanmoins pas possible de faire n’importe quoi. L’équipement affilié à une faction, ne pouvant servir qu’à un(e) membre de celle-ci. Des cartes événements à usage unique sont aussi au menu. Avec tout ce beau petit monde, on parcourra les 3 environnements tirés au hasard. Après les avoir analysés, chacun possédant des caractéristiques propres, on cherchera à y étendre son influence. Avec généralement des affrontements, mais on ne sait jamais peut-être que l’on vous laissera tranquille.
Un jeu de cartes, où ces dernières ne seraient pas d’une haute teneur, perdrait évidemment de l’intérêt. UnderWorld ne rate pas le coche, en proposant une pelletée d’éléments sublimes. Avec la particularité des districts. On retrouve rarement des lieux chez la concurrence. Et quand il y en a, ils sont peu souvent aussi soignés que les protagonistes. Ici, l’on se fait plaisir avec des zones aussi jolies, que détaillées. Magnifiées par des effets lumineux prouvant la volonté de les mettre en avant, tant cela est encore moins courant de voir un tel travail sur cet aspect. Bien sûr, les personnages bénéficient d’une qualité tout aussi grande. Avec des effets magiques valant ceux des environnements.
Conclusion
L’originalité de pouvoir gagner en mêlant son emprise sur les environnements et sa réussite dans les combats, un soupçon d’attractivité supplémentaire se dégage d’UnderWorld. On attend désormais avec impatience l’édition finale avec figurines.