Test du jeu de société Ani’zoom – Disneynature

Vous le savez certainement, l’on adore les animaux. Quand un jeu permet d’en apprendre davantage sur eux, l’attirance se crée forcément. Mais il faut également qu’il sache apporter son grain ludique. Et rien qu’au coffret et à la vision de l’ustensile spécial, on sent qu’Ani’zoom – Disneynature sort de l’ordinaire.

Ani'zoom - Disneynature

Le but est on ne peut plus simple à saisir. Il suffira, pour l’emporter, de récolter une certaine quantité de cartes, en retrouvant le plus d’animaux possible. Cette quantité varie, selon si vous évoluez en duel ou jusqu’à 6. Mais l’objectif d’Ani’zoom – Disneynature, est lui de vous faire trouver les créatures, de manières originales. D’ailleurs pour ce faire, n’oubliez pas d’adjoindre au jeu une source de lumière. Lampe-torche, éclairage du téléphone…

Chaque session peut plus ou moins démarrer par un certain moment à observer les 6 plateaux, sur lesquels figurent les animaux à retrouver. On peut ainsi très bien décider de les visionner plus ou moins longtemps, voire pas du tout, lorsque l’on désire dériver dans un domaine de recherche sans indice dans un premier temps. Et où la faculté d’observation se distingue progressivement, en repérant les animaux sur les plaques, lors de chaque quête. Un bon moyen de varier les parties. Tout autant que la disposition. Car si l’on peut passer une séance plutôt calme, avec les plateaux les uns à côté des autres et juste jouer de ses yeux et sa mémoire, Ani’zoom – Disneynature s’ouvre à davantage de voies. On peut tout autant les placer à des endroits éloignés, amenant une tactique de distance et une dépense athlétique. Et l’on en rigole que plus.

Ani'zoom - Disneynature

Suite à votre choix sur ces détails importants, l’on passera à l’action. Une pile face cachée, comporte 4 types de cartes, que l’on distingue par leur verso. Donne essentielle, vous comprendrez pourquoi. On retrouve la catégorie Animal, qui montre tout bonnement l’animal à retrouver sur un plateau. Ainsi que celle Petit, où l’on nous dévoile sa version enfant. Tandis que la classe Ani’zoom, se focalise sur un aspect de l’animal bien entier à chercher. Chaque carte qui officie dans un de ces 3 genres, doit être retournée par la meneuse/le meneur du tour en cours, afin que toutes et tous les participant(e)s (dont elle/lui) puissent la voir simultanément. La première/le premier à dénicher l’animal et à poser son pion sur sa photographie, remporte la carte. Mais s’il s’agit d’une Ani’zoom, elle/il gagne également la carte qu’elle/il désire piquer chez un(e) concurrent(e).

L’ultime catégorie, Nocturne, met en valeur des atouts très amusants et concrets d’Ani’zoom – Disneynature. Une telle carte se révèle en étant au préalable illuminée par la source de lumière requise, déclenchant l’effet phosphorescent. Puis placée dans le boitier Nocturne, où l’on regarde l’un(e) après l’autre. Et suite à cette action, les adversaires pourront enfin visualiser les plateaux pour trouver l’animal. Lorsque le haut de la pile annonce ce type, seul(e) la/le meneuse/eur et la personne qu’elle/il souhaite affronter, lutteront pour cette carte. En plus de celle de son choix à chiper à la perdante/au perdant du duel.

Ani'zoom - Disneynature

Cette dernière variante, offre à Ani’zoom – Disneynature une particularité excitante. Au niveau du matériel, avec l’identité magique de ces cartes et la présence du boitier. Et en terme ludique, en changeant le processus.

Conclusion

Déjà dynamique si l’on privilégie d’y jouer avec les plateaux à proximité, Disneynature – Ani’zoom peut devenir plus fou et physique, tout en délivrant de nouvelles stratégies, si on les éloigne en pleine nature. Nature du jardin comprise, mais cela marche aussi en intérieur. Avec toujours le plaisir d’évoluer dans un univers animalier. En parallèle à celui de l’apport des cartes et du boitier Nocturne, terriblement pas gadgets.