On est depuis longtemps au courant que les chat(te)s gouvernent Internet. Ce qui permis à toute la société d’apprendre qu’en réalité, elles et ils détiennent bien plus que cela. Reste à savoir leur emprise sur Kickstarter, où débarque Meow! de Peter C. Hayward.
Avant de se lancer dans tout jeu, il est évidemment indispensable de connaitre les règles sur le bout des doigts. Il en va de même lorsque l’on fait partie d’une organisation secrète. Surtout que celle de Meow!, est particulièrement pointilleuse sur le sujet, puisqu’il s’agit du but pour remporter la victoire.
Selon la taille de notre confrérie composée d’animaux et pas uniquement de chat(te)s, on débutera chacun(e) avec 2 cartes de règles, si l’on est entre 3 et 5. Et une seule si l’on est au moins 6. Meow! s’inscrit donc pleinement dans le divertissement de grandes assemblées. Une autre carte est placée face cachée pour la pioche. Et l’on ramasse le reste. Vous comprenez désormais par quel biais il est envisageable de se souvenir de toutes les règles. Tandis que cela deviendrait complexe si toutes les cartes étaient utilisées. Simultanément, vous comprenez que le jeu prend une dimension très différente selon la quantité de participant(e)s. Puis l’on regarde ses cartes et les transmet à sa/son voisin(e) de gauche.
Lors de chaque tour, l’on jouera une de ses cartes. Dont l’on lira à voix haute la règle et réalisera l’action. Suite à quoi, l’on enchainera par celles dans les mains de nos adversaires. Tour après tour, l’on en saura davantage. Mais encore faudra-t-il les retenir. Sans oublier que l’on en inventera d’autres. Mais l’on découvrira le résultat qu’au terme de sa manche. En vérifiant joueuse/eur après joueuse/eur avec tout le monde, sans parler ni révéler les cartes. Il faut donc avoir été attentive/if pendant les actions. On garde ainsi en tête celles validées que l’on connait éventuellement. Car on les a lues ou ont été confirmées.
Dès que l’on arrive sur dont au moins une règle n’a pas été respectée, la personne la dévoile et pose la carte dans la pioche. En plus de celle qui venait d’être jouée. Et les 2 tirent une carte au hasard. Ce qui conclue le tour. . Auxquelles l’on inclura les prochaines révélées, pour devenir la première/le premier à toutes les accomplir lors de son tour. Qui peut se terminer plus tôt, si vous enfreignez la règle de votre propre carte. Vos concurrent(e)s peuvent le signaler et ainsi vous stopper. Vous faisant reprendre votre carte. Et passer le témoin à la/au suivant(e).
En sachant qu’elles sont souvent amusantes. Et ajoutent parfois une touche supplémentaire de mémoire. Comme quand l’on nous demande d’interpréter une chanson, que personne d’autre n’a encore chanté. Ou encore citer la nourriture favorite de l’animal sur la carte. Un cochon par exemple, nous faisant répondre la confiture. Tantôt la demande sera gestuelle, comme faire semblant de lécher sa paluche. les actions des règles de la partie en cours. Mais évidemment, on ne les apprend qu’au fur et à mesure. Et il est ainsi nécessaire de les retenir, au fil des tours. Ce qui ne sera pas forcément évident. Mais si vous êtes balèzes, vous pourrez vous élever vers plusieurs niveaux supérieurs, Meow ! délivrant 2 variantes. Et propose même d’associer plusieurs paquets. De quoi faire grimper la possible étendue de participant(e)s.
Le thème mignonnet de Meow ! se confirme visuellement par l’intermédiaire de Tina Bongorno. Au travers d’animaux avec leur toge à capuche, typique des confréries obscures. On oscille donc entre le rigolo et le mignon.
Conclusion
Conçu pour tout le monde par son thème et sa drôlerie, Meow! s’adapte en plus à vos envies, en délivrant 2 paquets, chacun au même prix. Le rouge pour les plus acharné(e)s, le bleu pour le divertissement plus » familial « .