Le périple du préquel de l’acharné des gobelins perdure pendant Goblin Slayer Year One T5. Toutefois, Kumo Kagyu saura également y instaurer des sentiments moins violents parfois entre les personnages designés par Noboru Kannatuki et Shingo Adachi, mis en valeur en manga par Kento Sakaeda.
La pétillante Archimage & le Crève-gobelins sont toujours dans la caverne où se cachent les ennemis préférentiels de notre principal protagoniste. Même si l’on sait à quel point ceux qui restent, ne se dissimuleront pas très longtemps. Pour eux la meilleure défense, c’est l’attaque. Tout du moins, c’est ce que notre enquête poussée via les ouvrages de cette saga, porte à croire. Notre duo pousse l’analyse plus loin, sur le terrain. La jeune femme autopsie ainsi directement un ennemi. Tandis que son compagnon d’infortune, engrange les informations qu’elle lui confie au fil de ses découvertes.
Potentiellement, il se doit aussi de la protéger. Car qui sait ce qu’il se trame dans ces ruines ? Vous le découvrirez bien assez tôt.
Parallèlement, l’on suivra le parcours d’un autre aventurier. Vous y retrouverez le lien avec le précédent tome et tous les songes de celui-ci, par rapport à la nouvelle bande qu’il accompagne.
En marge de ces combattants, l’on plongera à nouveau chez les donneuses de quêtes. Et bien sûr plus particulièrement chez l’éprise du Crève-gobelins. Se demandant toujours comment elle pourrait devenir davantage que la nièce du propriétaire de l’endroit où se repose notre personnage. Voir passer les aventurières/iers, éventuellement en regrouper… Voilà ce qu’est leur métier, pas le temps pour l’attachement. Parviendra-t-elle à attirer son attention, alors que seuls les gobelins semblent y arriver ? Et qu’en est-il des rumeurs à son sujet avec l’Archimage ? La jalousie s’installera-t-elle ? Moult questions qui permettent de se pencher sur des thèmes plus humains.
Conclusion
La révélation d’un tas d’informations sur les gobelins, rend Goblin Slayer Year One T5 également très intéressant dans notre apprentissage de ceux-ci. Permettant d’aller au-delà de l’histoire contée. Cette dernière qui ne perd rien de saveur, entre action et pensées plus sentimentales.