Récemment, nous avons découvert un nouvel encart chez Kurokawa, dans la licence érigée par Kumo Kagyu, via Goblin Slayer Daikatana T1. Retour aux sources avec, dans la collection KuroPOP, le roman Goblin Slayer T7, par l’auteur originel et aux dessins de Noboru Kannatuki, sur une traduction de Sandy Julien.
L’aspect action de Goblin Slayer n’est plus à démontrer, mais à travers le roman, ceux humoristique et relationnel se déploient encore plus qu’il n’en ont le temps dans les mangas dérivés. L’entrée de ce volume, le prouve de manière aussi large que le physique d’un nain shaman.
L’Archère Elfe du fameux groupe que l’on suit, recevant la nouvelle d’un mariage dans son village. Mais les épousailles de qui ? Les siennes pour des noces arrangées ? Un dialogue de sourd.e.s hilarant, nous régalera ainsi pour bien débuter.
Une séquence tout autant propice, à la facette amitié de l’histoire. Et justement, toute la bande y est conviée. Ce qui n’est pas rien, tant les elfes possèdent la réputation de cérémonies aussi fastueuses, que la durée de leur vie. Qui plus est, les aventurières/iers, ne seront pas seul.e.s à se diriger vers la fête.
La vachère et l’hôtesse de guilde les accompagnant, c’est cette fois une autre dimension sentimentale qui en ressort. Difficile toutefois de savoir ce que peut ressentir Orcblog. Et encore, si seulement il n’y avait que ces deux-là… La Vierge à l’Épée, tente elle de déchiffrer une relique confiée par le héros à l’armure désuète et qui ne l’intéresse… Sauf si elle parle de gobelins !
Il ne sera pas déçu dans le genre. Car si l’escadron rejoindra bel et bien les festivités, l’exploration matinée de ses ennemis privilégiés, sera au programme. De quoi prendre une grosse dose d’aventure épique et tactique, à la sauce RPG de fantasy, avec de forts soutiens amicaux s’enchaînant.
Conclusion
Au-delà des coupes franches de gobelins et de son fort humour, l’identité relationnelle se trouve très poussée durant Goblin Slayer T7. Le mariage y contribuant sûrement