Chronique manga Nobles Paysans T7

Enchaînement d’œuvres d’Hiromu Arakawa, chez Kurokawa. Puisque juste après The Heroic Legend of Arslân T21, sur une histoire de Yoshiki Tanaka, on retourne moissonner du côté de sa véritable vie avec Nobles Paysans T7 (Kurokawa), à la traduction et adaptation de Fabien Vautrin et Maiko_O.

Nobles Paysans T7

Autobiographie rigolote, cette série peut toujours partir dans tous les sens. Sans pour autant devenir sans queue (de vache), ni tête. On retrouve ainsi à nouveau la mangaka, sous les traits d’une vache anthropomorphe. Revivant ces années passées à la ferme familiale, tout en nous content certains aspects du monde rural.

D’ailleurs, ce numéro permet de la voir visiter la France. On apprendra de façon hilarante qu’il s’agissait d’un voyage servant pour une de ses séries, qui finalement impacte également dans celle-ci. Tant elle n’a pu s’empêcher de comparer les éventuelles différences, entre l’agriculture en France et au Japon.

L’ouvrage est également bourré d’anecdotes drôles ou tristes. Mais en en tirant systématiquement quelque chose, principalement des enseignements. Y compris des comparaisons, par rapport à la situation actuelle dans les campagnes.

Conclusion

Drôle à vous rendre chèvre, Nobles Paysans T7 s’avère tout autant empreint de tendresse.