Chronique jeu de société Pili Pili

Martin et l’habituel doublette Ben & JB, sont à la limite du jeu de mots pimenté, avec Pili Pili. Cette nouvelle sortie d’ATM Gaming, s’articulant autour de plis à plus ou moins accumuler.

Pili pili

En revanche, si dans une basique bataille de cartes, on cherchera à réaliser un maximum de plis, ici on visera une quantité précise à chaque manche. Et ce, dans le but de ne pas être affublé.e de pilis.

Le piment ornant les cartes malus, signifiant le terme de la partie, dès qu’une personne en aura engrangées 7. Celle ou celui qui en détiendra le moins, sera déclaré.e vainqueur.e.

Pili pili

Avant chaque tour, une mission est piochée et variera les (dé)plaisirs ! Son impact peut avoir lieu avant ou après les paris, voire au-delà encore. Avec de nombreux effets, entre de la transmission de cartes, du partage de pili, devoir miser à l’aveugle…

Elle confiera aussi la quantité de cartes, à distribuer à chacun.e. Cependant, il reste envisageable de jouer sans ces missions. Si vous désirez juste axer le divertissement sur les paris et la stratégie simplifiée.

Hormis requête spéciale, on prendra connaissance de ses cartes numérotées, allant d’1 à 55. Avant de prédire combien de pli(s) nous remporterons, peut-être même aucun. La donneuse / le donneur parlant d’abord, puis on continue à tour de rôle. L’ultime position s’avère importante, car il est interdit d’arriver à un total de plis annoncés, égal à la quantité de plis qui sera jouée.

Pili pili

Par conséquent, si nous détenons 4 cartes, il y aura 4 plis au final. Le cumul des paris n’a donc le droit d’être de 4. Ce qui dérangera parfois la dernière ou le dernier, qui changera ce qu’iel envisageait, eu égard aux valeurs en main.

Conclusion

Les paris de Pili Pili, associés à une tactique oscillant entre recherche de gains et de pertes, concoctent un plat déjà piquant, davantage relevé par ses missions. 

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