Chronique livre Conan La carte de l’univers

Suite à son pendant Le Sorceleur / The Witcher, soit au sein de la franchise d’Andrzej Sapkowski, chez la gamme Cartographie de l’Imaginaire de Bragelonne, place à Conan La carte de l’univers. Cette fois, on y parcourra évidemment la légende de Conan le Cimmérien, de Robert E. Howard.

Conan La carte de l'universVous le savez donc via notre premier article à propos de cette collection, on découvre un ouvrage au style précieux via sa couverture. On ressent qu’il renferme quelque chose de peu commun. Et en effet, on y dévoile une carte nous révélant sur le terrain, les aventures d’heroic fantasy de Conan. Qu’on peut ainsi distinguer au sein des antiques civilisations du fantasmé Âge Hyborien.

Celle-ci ressort artistiquement clairement de celle consacrée au Sorceleur et vice-versa. Tant mieux, cette différence renforce l’identité de chacune. La carte de Conan établit ainsi sur 59×83 cm, un monde où les parties aquatiques nous plongent dans leur profond bleu. Là où The Witcher conserve sa couleur de parchemin.

Conan La carte de l'univers
Cette version s’écarte d’autant plus de ce style, en arborant un cadre stylisé, avec piliers entourés de serpents et ponctués par divers objets, dont des casques. Objets extrêmement importants durant ses récits. La topographie de l’endroit nous informera elle tant par ses reliefs, que ses informations colorés. Afin de mieux saisir le parcours des évènements.

Conclusion

Si dans le fond les volets de Cartographie de l’Imaginaire visent le même objectif, on a plaisir à remarquer qu’au-delà des franchises et leurs particularités, l’approche artistique change entre les épisodes. Tant pour mieux coller à la marque en question, comme avec les détails de Conan La carte de l’univers, qu’en vue de rafraîchir notre plaisir.