Grand cap à franchir par le biais de Call of the night T7 (Kurokawa) ! Kotoyama, sur une traduction de Xavière Daumarie, y soulignant la genèse de vampires comme jamais pour l’instant dans son histoire.
Kô et Nazuna à travers leurs indices, vont tomber chacun.e sur Kabura avec une théorie propre. Comme habituellement chez cette franchise, avec un amalgame de sérieux et de second degré. Mais sans l’ingénieuse idée, à l’époque où elle était humaine, de la désormais infirmière rôdant dans cet hôpital, leur passé commun aurait sûrement été oublié.
On vous laissera, pareillement au couple vedette du manga, tirer des plans sur la comète. Énormément de révélations, apparaissant via cette expérience « sang » concession. Peut-on cependant faire confiance à tout ce que dévoilera la conteuse ? Les émotions en tout cas ressenties par notre héroïne, devraient effacer certains doutes
Cette course vers le passé s’accélère, tant le danger de la détective se fait pressant. Ce sont ainsi d’autres camarades et acolytes qu’il s’agira d’aider. On y découvrira déjà quelques faces cachées. Tout du moins surtout une, partant dans des délires otakus complets. Tranchant littéralement avec la dramaturgie que l’on vient de vivre, à propos de Nazuna.
En parlant d’humour, l’ouvrage se terminera par un extra en usant. Un épisode bonus de Dagashi Kashi, œuvre également de Kotoyama.
Conclusion
La colossale information sur l’identité de notre héroïne aux longues canines, fait de Call of the night T7 un immense basculement émotionnel. Contrebalancé par une éclate codifiée gros geek dans la foulée, juste fantastique.