Afin de protéger l’avenir de l’héroïne de Call of the night T8 (Kurokawa), Kotoyama, sur une traduction de Xavière Daumarie, continue de nous faire mordre dans son passé.
En remontant les origines de la vampire menacée par l’intrigante détective, la première et Kô, se retrouvent au sein d’une classe. Pas n’importe laquelle cependant, puisqu’il s’agit de cours du soir. Prodigués par une comparse, Niko Hirata, cette dernière y embarque notre duo, pour les autoriser à enquêter
Là-bas, tout n’est pas si neuf, mais peut-être légèrement sauvage. Puisque parallèlement aux investigations de notre pétillante coquine immortelle, on découvrira des morceaux de son passé déroulés aux mêmes endroits.
Principalement sa rencontre avec la mystérieuse Kyôko Mejiro. Devenant son amie, mais finalement probablement davantage : sa première acolyte ! Soit une information primordiale et déjà des indices nous concernant.
Dans le présent, notre héros lui aussi croise une jeune fille bouleversant son quotidien. Bien qu’il y soit un chouïa obligé par sa compagnonne nocturne, un double-évènement secouera inexorablement sa vie sentimentale. Idem pour Nazuna ?
Conclusion
Parallèlement aux fouilles intrigantes, Call of the night T8 fait franchir un cap dans la symbolique de l’officialisation des relations. Un statut compliqué à assumer pour nos protagonistes ?