Chronique manga Dark Gathering T1

Nouvelle franchise chez Mana Books enchaînant ses deux premiers numéros, c’est dans un univers surnaturel que nous emporte Kenichi Kondo. Laissons-nous absorber par l’esprit de Dark Gathering T1, traduit par Amira Zegrour, et voyons s’il en ressort intact.

Dark Gathering T1

S’étant écarté de toute vie sociale et sociétale pendant une longue période, Keitaro se trouve dans une délicate situation en se reprenant « enfin ». Celui-ci ayant décidé d’étudier à l’université, aux côtés de sa meilleure amie Eiko. Cette dernière qui ne l’a jamais lâché, malgré les problèmes qu’il lui a causé.

Des problèmes peu anodins, puisque survenus par sa capacité ou plus exactement sa malédiction, à attirer les esprits. Lui conférant fatalement le désir de s’éloigner au maximum, de cet aspect immensément menaçant. Toutefois par la force des choses, il se retrouvera embarqué au plus près de ces dangers. Et ce, par l’intermédiaire de la cousine de sa pote. Dont il est censé devenir le professeur particulier.

Sauf que les deux demoiselles ont une idée en tête. Suite à un dramatique événement, les liant directement à ces menaces de l’au-delà. Un biais insufflant une forte dose émotionnelle et familiale. Sans que l’identité trouble ne prenne l’entièreté de la place. Une grande drôlerie se dégageant aussi de leur relation. Notamment par cette petite fille, Yayoi, autant flippante que rigolote.

Conclusion

L’alliance du surnaturel proche du glauque, mais jamais sale, et de l’humour de Dark Gathering T1, place un intriguant contexte aussi troublant, que marrant.