Cela faisait un bout de temps qu’on n’avait parlé de la série de Wataru Nadatani, traduite par Pénélope Roullon-Ishiara, ressemblant pas mal à notre vie. Enfin à ceci près que l’humaine est elle en plein apprentissage à propos des animaux, ce qui devrait continuer avec La gameuse et son chat T7 (Doki-Doki).
D’ailleurs depuis un bon moment, devrait-on dire la gameuse, le chat et la chatte ! Soboro, la petite minette amenée sur le territoire de notre héros matou Omusubi, aussi gentiment espiègle que peureux, est désormais bien adaptée. Voire l’inverse, à savoir que le premier présent l’a depuis pleinement acceptée. Après les instants, et même une durée un peu plus grande que de simples instants, où la connaissance s’est effectuée. Avec notamment au début le besoin de protéger son chez lui. Délivrant des gags transpirant l’apprentissage pour les humain.e.s, de ces félin.e.s.
Les habitué.e.s retrouvent ainsi des scènes connues dans leur réalité. Tandis que les autres ont l’opportunité de découvrir ce merveilleux univers qu’est le comportement animalier, notamment par le biais d’explications dans le manga. Cependant notre héroïne, Riko Kozakura, jeune femme incarnant elle la candide, apprend sur le tas comme beaucoup de lectrices/lecteurs. Un point appréciable pour savoir certains éléments qui se produiront, si vous accueillez un.e ou des chat.te.s indéfiniment. Car on rappelle qu’on n’abandonne les animaux !!!
Mais elle se crée également elle-même ses propres délires sur chaque action, chaque moment passé ensemble. Avec son instinct de joueuse hyper développé. Leur faisant vivre des aventures hors JV, puisant un maximum d’éléments dans sa passion vidéoludique. Et pas que, comme on le constatera dans la fameuse enquête, qui risque de faire un carton !
Conclusion
Pour cet avant dernier tome, j’ai rit devrait sûrement s’avérer votre réponse quand on vous demandera ce que vous avez pensé de La gameuse et son chat T7. Et en guise de cadeau d’avant rentrée scolaire, professionnelle et autres, il offre justement un calendrier scolaire 2022/23 ou, comme on l’appelle : un chalendrier !