Chronique manga Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime T27

Le festival de sorties autour de la franchise de Fuse, s’avère loin d’arriver à son terme. Sa principale version manga signée Taiki Kawa, revient avec Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime T27 (Kurokawa), au chara-design de Mitz Vah et à la traduction d’Erica Moriya.

Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime T27

La conclusion de ces premières grandes festivités internations à Tempest, se rapproche de n’importe lesquelles. Car oui, c’est à la fin du bal qu’on paie les musicien.ne.s. Ou plus exactement ici, les marchandes et marchands.

Toutefois lorsqu’il est question de rétributions, les discordes vont bon train. Ces humaines et humains paraissent encore avoir du mal, à faire confiance aux démonnes et démons. À tel point que les éventuels titres suggérés par Mjölmile, en guise de paiement, sont purement et simplement refusés.

Privilégiant des pièces d’or des nains, comme stipulé par les lois internationales. Le débat monte alors en puissance, avec une intervention inopportune et néanmoins opportuniste, de la part d’un noble.

Émissaire du royaume de Gaston, Limule flaire le traquenard provenant de plus haut. Le tout étant de le contrer et de trouver qui se dissimule derrière ce plan. Tandis que sur un ton plus léger, la structure du donjon touristique sera revue. Quelques personnes y avançant bien trop aisément.

Conclusion

Entre sournoiseries et amusement, Moi, Quand Je Me Réincarne En Slime T27 sait toujours rebondir, à l’instar des propriétés physiques d’un slime.