Le cosmos du nouveau pan de la saga originelle de Masami Kurumada, continue de brûler chez Kurokawa. Saint Seiya Dark Wing T2 Les Chevaliers du Zodiaque de Kenji Saito (auteur) et Shinshu Ueda (dessinateur), sur une traduction de Xavière Daumarie, surgissant à la vitesse de la lumière.
Les pièces continuent à progressivement se mettre en place, à propos des personnages clés de ce manga. On ne veut toutefois pas vous gâcher les révélations faisant son charme. Simplement vous confiera-t-on que les histoires accentuent encore la dualité entre les familles et amitiés. Torturant déjà leurs esprits et on imagine bien que la suite déchirera leurs cœurs, en plus du ciel.
Cependant, on avait déjà noté l’humour parfois délirant de ce CDZ lors du premier tome. Ce qui se poursuit, notamment au travers de Théseus du Bélier. Ne semblant pourtant le plus rigolo a priori. Mais sa raison de protéger un spectre semble complètement craquée, de par le moment mal choisi pour effectuer une telle confidence.
Face à lui, Eito du Capricorne, pour un affrontement tranchant. Un combat entre deux Chevaliers d’Or, on en connait la démesure. Sauf que la raison d’en arriver là reste troublante. Les deux camps connaissant des liens surprenants.
La facette protection se développe davantage encore, entre Charlotte et Yoruhime, alias Pandore. Tandis que Cattleya rencontre elle les 12 Chevaliers d’Or. Enfin tout le monde ne lui est évidemment pas inconnu. Une audience importante pour la nouvelle réincarnation d’Athéna, à l’aube d’une Guerre Sainte. Néanmoins sa requête étonnante, pourrait amplement changer les codes habituels de cette lutte face à Hadès.
D’autres genres de codes sont eux aussi renversés, en distinguant les réactions des protecteurs du Sanctuaire. Avec cette fameuse drôlerie s’accentuant.
Conclusion
Dès à présent attirant dans ses intrigues, Saint Seiya Dark Wing T2 Les Chevaliers du Zodiaque semble chercher à se distinguer dans ses approches. Cela fonctionne et on a envie de constater si ces techniques marcheront sur nous à plusieurs reprises.