Chronique manga Wandering Witch Voyages d’une sorcière T5

Cette déclinaison en manga par Itsuki Nanao, du roman de Jougi Shiraishi, au chara-design d’Azure, a pour habitude de toucher à des thèmes très forts. Quels seront ceux de Wandering Witch Voyages d’une sorcière T5 (Kurokawa), à la traduction de Gaëlle Ruel ?

Wandering Witch Voyages d’une sorcière T5Cette fois, les relations entre femmes seront spécifiquement mises en lumière. Tantôt pouvant être assumées, tantôt non révélées, ainsi que moult confusions en ne se disant les choses. Amnésia et Avilia s’en rendront compte, lors d’une quête du Lys du bonheur. La fleur selon la rumeur, ferait repousser les bons sentiments d’une relation troublée, voire perdue.

Telle celle de Chocolat, dont son couple a souffert d’une méprise. Elle désire par conséquent dénicher cette plante, afin de raviver la flamme d’antan.

Saya elle, se glisse au sein de l’enquête d’une macabre histoire de meurtres à Emadestrine. Ville où ôter la mort s’avère interdit, y compris les suicides. Elle mènera l’investigation avec la sorcière enquêtrice en chef, une ancienne camarade. Avec de lourdes révélations.

Enfin, Elaina fera une drôle de rencontre à travers le temps, dans un lieu abandonné. Ce dernier sous couvert de traditions, fait lui aussi froid dans le dos. Les moments passés avec cette invitée étonnante, verront la relation maître et élève se confondre. Avec comme toujours chez cette licence, un fastueux humour.

Conclusion

Cette magie humoristique, tendre et dramatique à la fois de la saga, ne s’épuise pas avec Wandering Witch Voyages d’une sorcière T5. Avec des sujets que l’on se ressasse même après lecture.