Chronique roman Le Porteur de lumière T5 Le Blanc incandescent – Première partie (poche)

Nouveau format pour l’avant-dernier volet de la saga de Brent Weeks, traduit par Olivier Debernard. Le Porteur de lumière T5 Le Blanc incandescent – Première partie, venant de passer en version poche chez Bragelonne.

Le Porteur de lumière T5 Le Blanc incandescent – Première partieInitialement non séparé de l’ultime pan déjà disponible en grand format chez Bragelonne, cette néanmoins énorme tranche de la saga, règlera les affaires courantes. Procédé nous menant vers une conclusion haletante, afin de débuter le prochain roman avec cette sensation de terme grandiloquent.

Les quêtes annexes se règleront ainsi, alors qu’on suivra les 3 grands points de vue héroïques, chacun de leur côté, pour finalement mieux les voir se lier. Avec la frontière jamais bien loin entre le bien et le mal, pour vous préciser cela de manière manichéenne. Heureusement, dans l’ouvrage ça n’est pas si simple. Les protagonistes continuent d’avoir leurs doutes non feints, au sein de situations complexes. Particulièrement chez Teia, qui devra plus que jamais choisir. Tandis que Gavin est torturé par sa quête  Alors que Kip et sa bande combattent tant bien que mal. Tout en conservant cette identité humoristique piquante, alors que l’atmosphère est pesante.

Notons que cette nouvelle version française de Lightbringer – The Burning White, titre original, vient avec une nouvelle couverture. S’inscrivant dans la continuité de celles de cette édition poche. Avec un esprit plus action, au travers de son personnage déterminé en gros plan photographié par Stéphane Casali. Celle grand format, propose des illustrations plus poétiques, même dague à la main. Soit 2 salles, 2 ambiances, qui peuvent guider vers la collectionnite.

Conclusion

Nous portant sur un plateau, plutôt bosselé avec ses épiques aventures, vers la grande fin à suivre, Le Porteur de lumière T5 Le Blanc incandescent – Première partie sait amener ce fameux suspense. Laissant perdurer l’envie d’aller au bout de cette expérience de fantasy déjà marquante. Tant par ses sujets, que sa drôlerie.