Critique du manga Schwarz Ragnarök T4

Ultime volume de Tengoku no Ragnarök de Yuki Imada, ou plutôt dans la version française de Kurokawa traduite par Adrien Tchou : Schwarz Ragnarök T4. Une histoire que l’on imagine sans mal se terminer de main de maître !

Schwarz Ragnarök T4

Bien entendu, cette chronique s’avèrera la plus compliquée de celles qu’on aura consacrées à la franchise. Ou plus précisément, la moins révélatrice, tant le scénario de Schwarz Ragnarök T4, s’articulera autour de points bien trop importants, pour qu’on vous en révèle quoi que ce soit. Sachez néanmoins que notre quatuor n’a plus qu’une envie : sauver le monde ! Cette fois, rien ne semble pouvoir dévier les désirs de Diana, Thrasilla, Gram et Appolo. Paraissant plus que jamais se rejoindre, sans une seule arrière-pensée.

L’évolution des relations entre les 4 s’accéléra ainsi, avec un approfondissement de toute part, à une phénoménale vitesse. Impactant sur les idéaux des protagonistes, qui ne verront plus forcément la vie comme avant. Mais dans l’éventualité où la troupe souhaiterait justement désormais vivre d’une manière différente, avec leurs nouveaux sentiments… encore faudra-t-il se débarrasser du Mal.

Ce dernier ne sort pas de nulle part d’ailleurs et les révélations iront bon train, au milieu des terribles affrontements. Ces derniers devenant de plus en plus percutants, au fur et à mesure que la couleur noire étend son emprise sur les dessins. Avec des passages titanesques, défenestrant tout en double-page.

Conclusion

De l’entité maléfique de Schwarz Ragnarök T4 empoignant ses ennemi(e)s, découle un terme poignant pour cette série. Où la famille s’avère plus que jamais mise en exergue.