Notre saga globale favorite de Terry Goodkind, L’Épée de Vérité, avec Les Enfants de D’Hara T5 Dans les ténèbres. Son bébé, traduit par Jean Claude Mallé.
Justement en parlant d’enfants, mal en point et craignant de perdre les siens avant même leur naissance, Kahlan tente de résister. Une herbe aussi rare, que compliquée à atteindre dans les glaciales hautes montagnes, s’avère peut-être l’élément qui sauvera les trois. Un parcours rude pour Vika et Richard, qui y feront une première étonnante rencontre. Mais cette quête n’est quasi rien au sein de ce roman. L’aventure nous fait ressentir la passion et la folie de l’approche d’un certain terme. Sans ne rien gâcher, l’on vous confirmera que le duo reviendra. Mais peut-être trop tard, la ressource employée sans une fastidieuse préparation suffira-t-elle ? Sans omettre qu’en réalité, jamais un tel cas n’a pu être soignée par leur amie.
Poussant toujours plus loin le périple, les 9 se retrouveront au sein de mystérieuses Terres, et pas vraiment le choix de s’en extirper à cause d’une frontière surnaturelle, à propos desquelles l’on va commencer à se taire. Tant à propos de qui l’on y rencontrera, que les multiples jeux de dupes. Aussi bien du côté de l’adversité, que du groupe que l’on suit. Et plus particulièrement de Richard, qui a plus d’un tour dans son fourreau. D’autant plus quand il s’agit de secourir sa femme et leur progéniture. Cette dernière dont les 2 entités, s’avèrent toujours à l’épicentre des croyances les plus tordues et disparates. Contre lesquelles le couple et ses compagnonnes continueront de lutter, jusque dans les plus profondes ténèbres.
Un endroit peut-être plus charmant qu’il n’y paraît où les anciens ennemis, pourraient finalement ne pas s’avérer si terrifiants…
Conclusion
Les retournements iront bon train durant Les Enfants de D’Hara T5 Dans les ténèbres. On ne peut ainsi que délivrer une évasive chronique sur bien des points et en dissimuler de nombreux autres, tant chaque cheminement porte une marque forte. Pas de missions moins trépidantes et semi-importantes. On prend avec plaisir une bourrasque digne des coups de fouet d’une tribu de Mord-Sith.