Test du jeu de cartes Robinson Crusoe: Escape from Despair Island

Actuellement en campagne Kickstarter, Robinson Crusoe: Escape from Despair Island de Niko Huttu ne pourra se débrouiller seul comme le conta Daniel Defoe. Il a besoin de vous pour son financement, espérons que cet article saura vous conseiller.

Robinson Crusoe: Escape from Despair Island

Tout comme votre illustre prédécesseur d’il y a plus de 350 ans, Robinson Crusoe: Escape from Despair Island vous fait échouer sur une île. Rien à disposition pour survivre ou contacter qui que ce soit. Vous devrez vous adapter immédiatement pour tenir sur ces terres pouvant devenir hostiles. Mais aussi pour réussir à vous faire remarquer par d’éventuels secours. Voire quitter de votre propre chef les lieux en construisant une embarcation. Mais au-delà de cette terre perdue et ses événements climatiques, du manque de vivres et des cannibales, vous devrez également composer avec les autres rescapé(e)s.

Les 1 à 4 survivalistes de Robinson Crusoe: Escape from Despair Island débutent chacun(e) avec 5 cartes de la pile Nourriture face cachée. Qui équivalent aux 5 jours prévus, une ration par jour, attention au Vendredi compte double. Puis l’on évolue dans le sens horaire, avec 2 phases distinctes lors du tour de chaque joueuse/eur. Celle d’exploration et celle de commerce.

Robinson Crusoe: Escape from Despair Island

La première permet à la personne active de retourner jusqu’à 10 cartes, puis de pouvoir y sélectionner celle désirée. Voire celles, si l’évolution de votre campement vous octroie certains bonus. Vous pourrez ainsi choisir de la nourriture, évidemment essentielle. Mais aussi des éléments pour améliorer votre camp personnel comme nous venons de l’aborder. Ce qui pourra vous apporter plus de ressources (armes, outils…), mais également vous protéger des dangers. Ou bien contribuer à l’élaboration de son bateau pour s’échapper. Ainsi que faire progresser les 3 types de personnages. Chacun faisant partie d’une des conditions pour remporter Robinson Crusoe: Escape from Despair Island.

Toutefois, il n’est pas systématiquement possible d’en retourner beaucoup à cause des cartes menaces. Si bien que dès que des cartes retiennent notre attention, on a tendance à les récupérer avant d’en retourner dix. Au bout de la 2nde menace tirée, l’on devra vaincre la plus forte afin de garder des cartes de cette exploration. Puis vient la phase de commerce. Les autres joueuses/eurs peuvent alors acheter les cartes piochées mais laissées, moyennant de la nourriture.

Robinson Crusoe: Escape from Despair Island

Au-delà des denrées qui servent aussi de monnaie d’échange, l’on retrouve des cartes Exploration qui offrent des cartes supplémentaires, voire doublent la collecte de nourriture. On croise aussi des cartes Chance et Malchance. Qui délivrent plus de repas pour l’une et peuvent en faire perdre, si vous en avez déjà au moins 6, pour la seconde. Les personnages dont l’on a fait part plus tôt sont également au menu. Au même titre que les éléments de construction, classiques ou spéciaux. Qui délivrent des combinaisons vous renforçant davantage. Et tout un tas d’autres encre.

Au travers de ses cartes aux multiples actions et ressources, Robinson Crusoe: Escape from Despair Island profite de nombreuses illustrations signées Adrian Liza Clares. Bien sûr, celles qui représentent des personnages sont les plus intéressantes. Généralement dans un ton humoristique, que renvoient physiquement les avatars.

Robinson Crusoe: Escape from Despair Island

Conclusion

Grâce à sa variété de phases, de combinaisons et de conditions pour l’emporter, Robinson Crusoe: Escape from Despair Island diversifie chaque partie, tout en reflétant potentiellement le caractère des joueuses/eurs.