Gigamic continue d’étendre sa gamme Similo, par le biais animal. Précisons d’ailleurs qu’il existe 2 nouveautés parmi cette sorte : Similo Animaux et Similo Animaux sauvages d’Hjalmar Hach, Pierluca Zizzi et Martino Chiacchiera, illustré par Naïade, sur lequel nous allons nous pencher.
L’expérience verra s’allier une quantité de joueuses/eurs malléable, qui évoluera en coopération et fera en sorte de deviner l’animal mystère, grâce à un(e) narratrice/eur. Dans le cas où celui-ci est trouvé, tout le monde l’emportera. La/le narratrice/eur formera une grille de 3×4 cartes, représentant chacune un animal. Au sein desquelles se situe celui à trouver, dont seule cette fameuse personne connait l’identité. Elle/il piochera un quintet d’autres cartes, 30 existent en tout, qui serviront à aiguiller sa/son/ses camarades, pour trouver l’animal en question.
Ceci à l’aide de caractéristiques propres aux créatures des 5 éléments en main, leur environnement… Ce que l’un ou l’autre peut avoir en commun avec le protagoniste convoité, s’avèrera un moyen d’obtenir la réponse. Pour ce faire, elle/il devra jouer une des 5 cartes qu’elle/il détient, verticalement. Sa/son/ses équipière(s)/ier(s) doit/doivent alors en retirer une ou plusieurs de la grille, qu’elle(s)/il(e) pense(nt) ne pas s’agir de la cible. Exactement, en enlever une au 1er tour, 2 au 2e… Pour finalement rester avec seulement 2 cartes sur la toile, lors du 5e.
Autre technique pour gagner, disposer une des cartes indices horizontalement. Cette fois, cela signifiera une opposition, par rapport à l’animal dont l’on est en quête. Par conséquent, il s’avèrera indispensable de bien réfléchir, pour soutenir l’autre/les autres membre(s) de son équipe. Comme miser sur la couleur pour faire comprendre que l’animal visé est également de celle-ci. Toutefois, le risque est grand de s’imaginer que l’on évoque, sans parler ni exécuter quelconque mouvement indicateur, autre chose. Comme son milieu naturel ou n’importe quelle facette. Il faudra de part et d’autre finement analyser la situation, tout en rentrant dans l’esprit d’autrui, pour assurer le coup.
Car évidemment, on ne dira mot en tant que narratrice/eur. Ne parlez même jamais, pendant et en dehors d’une partie, de ce qu’il faudra faire pour avoir plus de chances de réussir. Comme se servir de telle spécificité au 1er tour pour qu’on comprenne d’emblée… Vous gâcheriez l’expérience ! Après chaque indice joué, elle/il en tirera un nouveau. Soit constamment 5 cartes en main, permettant de rebondir sur une idée. Notamment suite à ce qui a pu être enlevé sur la grille, alors que vous ne vous y attendiez pas. Et ne pas simplement rester avec le quintet de départ. Encore faudra-t-il que l’animal recherché ne soit pas mis de côté. Ce qui signalerait une défaite instantanée. Ce n’est qu’à l’ultime séquence où l’on aura l’occasion de départager les 2 restants.
Soulignons qu’il est envisageable d’évoluer avec plusieurs paquets de Similo. Dont naturellement celui-ci, avec Similo Animaux. Permettant par exemple d’en prendre un pour la grille et le second pour les indices. Ce qui offre toujours l’opportunité de bénéficier de points communs en relation directe avec le monde animalier. Ce dernier particulièrement bien mis en valeur tout au long des sessions de Similo Animaux sauvages, par les dessins de Naïade.
Conclusion
Très malin, tant on songe à la fois à des qualités de base, qu’à d’autres propres aux animaux, sublimement représentés ici. Mais aussi à l’évolution du terrain de jeu et à l’esprit de notre/nos partenaires, Similo Animaux sauvages s’annonce comme un divertissement y gagnant en parallèle une rejouabilité fantastique. En plus de l’amusement coopératif, potentiellement à diverses échelles selon à combien vous participez.