Vous le savez via notre critique/let’s play du jeu vidéo ou encore celles de guides à son sujet, on a tendance à se plonger dans le pendant hack ‘n’ slash de l’univers de Notch, signé Double Eleven et Mojang Studios. Mais avec le jeu de société d’Alain T. Puysségur, illustré par Vladimir Subbotin, on cherchera à s’en extirper durant l’Escape box Minecraft Dungeons.
Même si vous ne connaissiez la licence jusqu’à présent, on sait que vous vous êtes jeté.e.s sur notre vidéo. Par conséquent, vous êtes au courant qu’on peut évoluer en solo ou à plusieurs. Cette seconde voie s’avère celle du JDS en question, à l’instar des autres références de la collection. Précisément, un.e maître.sse de jeu et, de l’autre côté, au moins 2 aventurières/iers. Un duo au minimum, qui ne craint apparemment pas grand-chose. Puisqu’à peine après avoir eu vent d’une certaine Crypte Spectrale, l’escouade n’hésite pas à s’y rendre. Et même à pénétrer au plus vite en son sein, sans foncièrement se méfier.
Mais comme dans le JV, les lieux sont dangereux et malfamés. Cette crypte ne déroge pas à la règle, vu qu’elle se referme à peine sommes nous entré.e.s. Évidemment, on cherchera à s’en extirper en 45 minutes maximum, au gré de la bande-son à récupérer en ligne si besoin. Cependant, il ne s’agit pas qu’une histoire d’échappatoire, même si rien qu’avec ça, la pression monte déjà. Derrière cet enfermement se trouve l’Arch-Illageois qui, en plus de s’être accaparé la Crypte, compte désormais lâcher une foultitude de monstres. Ce dont on goûte moyennement, de quoi nous inciter à accomplir notre mission d’autant plus vite.
Les mécanismes bien huilés de la gamme restent en place. Avec le besoin que la/le MJ dissimule les cartes, que les exploratrices/eurs devront par la suite trouver. Celles-ci permettant d’avancer dans le déblocage de la situation, pour répondre et franchir les énigmes. Tout en s’appuyant sur le poster/plan de jeu. La/le MJ validera ou infirmera les réponses et, vraiment au pire, aiguillera d’indices la bande, afin de venir à bout d’un casse-tête. Ou encore en vue de dénicher une carte trop bien planquée. Même si on fait en sorte de rester correct.e dans les cachettes.
Toutefois, aucune obligation de soutenir les enfermé.e.s. Néanmoins en cas d’évènement particulier, où on l’utilise comme distraction, mieux vaut la finir. En revanche, si vous savez que vous pouvez remettre ça rapidement, n’aidez pas, cela prolongera sa durée de vie. Et poussera à réflexion. Qui plus est, en retrouvant la saveur visuelle de Minecraft Dungeons via les les dessins de Vladimir Subbotin, on apprécie y passer du temps.
Conclusion
Le plaisir de ce divertissement ne s’étiole pas et l’arrivée d’une telle licence dans son giron nous attire, encore plus que de l’obsidienne vers l’Escape box Minecraft Dungeons.