Continuons à filer aussi vite que l’O-parts de Ball, pour enchaîner les épisodes de la licence de Seishi Kishimoto, où s’affrontent l’amitié et l’action. Règle à laquelle ne dérogera sûrement pas Satan 666 T12 (Kurokawa), traduit par Pierre Giner.
Le tournoi d’Olympia part littéralement en vrille et même en catastrophe ! Icaros son grand organisateur, à propos duquel on en apprendra encore plus dont sa réelle origine, n’aurait sûrement jamais pensé pouvoir convier sans le savoir autant de personnes intéressantes pour lui.
Se servant de la compétition pour allécher les O.P.T. les plus fort.e.s afin de les utiliser par la suite, d’énormes éléments se sont présentés cette année. Et remarquer notamment celui qui ne peut qu’être Satan, le fait se découvrir avant le terme. Mais ce diabolique personnage a saisi que pour mener à la baguette Jio et sa double identité, Ruby lui serait essentielle.
Sa capture pour asservir son ami, fait évidemment enrager ce dernier. Grand suspense ainsi durant la lecture, sur l’opposition entre la baston en elle-même et le besoin pour notre jeune héros de contrôler le diable en vue de lui éviter le pire. Toutefois, s’il plaît davantage Icaros, on sait qu’il ne fut le seul protagoniste issu de la Cabale à se présenter. On suit donc parallèlement à ce segment, le combat pour empêcher Yuria d’être enlevée par Zenom. L’organisation ayant constamment en tête des plans plus ignobles les uns que les autres. Tout en apercevant 2 autres actions non loin, entre le sauvetage des O.P.T. sur Rockbird et l’approche de Cross. Arrivera-t-il en pleine explosion de Satan ?
Conclusion
Surtension de puissance, mais également déjà des virages nous suggérant qu’après les émotions de Satan 666 T12, on tournera vers encore plus énorme. On le vérifiera dans quelques jours !