Nouvel arc littéraire de la saga d’Ubisoft, Assassin’s Creed – La conspiration du mage (404 Éditions) de Kate Heartfield, traduit par Arnold Petit et à la couverture de Bastien Jez, vient animer nos lectures sans Animus.
En plus d’être une histoire complètement dénuée de tout jeu vidéo, celle-ci se démarque en effet du fameux attirail technologique propre aux origines de la franchise. Se concentrant sur le périple d’époque de deux personnages, accomplissant leurs gammes chez les Assassin.e.s. D‘une part Pierrette l’acrobate, cela tombe bien pour correspondre à l’agilité de la confrérie qu’elle ne connait encore. Secourant Ada Lovelace, durant l’Exposition Universelle de 1851 à Londres.
La mathématicienne dont l’état de santé se dégrade, ne perdra pas de temps pour la mettre au courant de la terrible menace pesant sur l’Europe. D’autant que sa culpabilité est de mise, par la création d’une arme commandité par un certain « Mage ».
Heureusement, elle pourra compter sur Simeon Price, un ami de celle qu’elle a sauvée. Lui l’ancien soldat britannique disparu, mais finalement pas tellement. Si on aura bien droit à des scènes spectaculaires, la doublette se lancera dans une véritable enquête tout autour de l’Europe.
Un périple également historique, car comme usuellement chez AC, on découvrira pléthore de références à de véritables personnages et événements. Un vrai plaisir, à l’instar des clins d’oeil aux mécaniques des JV.
Conclusion
Même les néophytes de la licence trouveront de quoi se plonger tel un aigle, dans Assassin’s Creed – La conspiration du mage. L’aventure sachant distiller les informations nécessaires sur la guerre mythique d’AC, avec subtilité.