Il est nécessaire de bien s’accrocher pour suivre les cavalcades de la saga de Fuse ! Cette fois, place à Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T2 (Kurokawa). Dérivé manga de Tae Tono, au chara-design de Mitz Vah, traduit par Ryoko Akiyama.
Désormais réuni.e.s quasiment sous une même bannière, enfin on constatera que ce lien pourrait s’avérer fragile selon les évènements, nos 3 « monstres » continuent leur découverte de Tempest. Et notamment concernant certain.e.s des meilleurs combattant.e.s du coin. De quoi apprendre des approches et stratégies différentes, entre l’épéiste Hakurô et la magie supérieure de Myuuran.
Sauf que bien entendu, rien ne se déroule simplement avec Phos la lycanthrope, Stella la dragonute et Nemu la harpie. Les enseignements leur étant prodigués, virant globalement à la grosse rigolade et tout autant à la catastrophe.
Autre ambiance, l’instauration de la monnaie par Limule, leur fera apprendre les échanges commerciaux. Tant dans le relationnel, que le calcul mental lors des transactions. On les suivra en pleine action en boutique, lors d’un test organisé. Et décidément, elles ne perdent jamais une occasion de tout faire vriller. Avec leurs caractères entre naïveté et entrain, emprunts d’une fourberie douce, voire drôle.
Cependant, la réelle mission de chacune s’avère fort loin de ces distractions. Auraient-elles oublié chacune la leur ? Les dangereux événements, dont l’impact se rapproche de la ville, devraient les ramener à cette réalité. Un risque pour leur amitié ?
Conclusion
Dégoulinant d’humour, Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T2 termine sur une note dramatique, laissant songer que notre triplette ne fera pas que s’éclater.