Chronique manga Moi, quand je me réincarne en Slime T24

Glissons de manière fluide, à l’instar de son personage principal, vers Moi, quand je me réincarne en Slime T24 (Kurokawa). L’adaptation par Taiki Kawakami, de l’histoire de Fuse, au chara-design de Mitz Vah, traduite par Erica Moriya.

Moi, quand je me réincarne en Slime T24

Les immenses festivités à Tempest, voient se rejoindre des entités aux mœurs toutes plus distinctes les unes que les autres. Un aspect pas toujours évident à gérer. Essentiellement quand dans le lot, certains clans s’avèrent plutôt enclins à la bagarre.

Malheureusement pour ce genre d’énergumènes, par ici on possède du répondant. S’il s’agit du cas du roi-démon souverain dans le coin, il en va de même au sujet de son entourage.

Une partie pouvant même faire carrément peur ! Pile-poil (de lycanthrope) ce qui est nécessaire, afin de recadrer les éléments perturbateurs. À l’instar des rejetons d’un autre roi-démon, qui sèment la pagaille.

De manière plus posée, Limule reçoit les représentants des tribus au cours d’audiences personnelles. Une bonne façon de raviver des souvenirs. Tout en tournant toujours à un moment ou à un autre, du côté de la nourriture.

Conclusion

Léger comme de la gelée, Moi, quand je me réincarne en Slime T24 souffle une brise de fraîcheur pleinement marrante.