Chronique bande dessinée Comme des papillons

Malheureusement la coupe du monde de football 2023, n’a pas eu droit à beaucoup d’égards médiatiquement. Dans la foulée, c’est d’une Chistera que celle masculine de rugby s’installe en France. Suscitant elle apparemment davantage d’intérêts, notamment en B.D. avec Comme des papillons (Grand Angle). Où Philippe Charlot et Philippe Pelaez, content l’ascension du Racing Club de France des années 1980/90, imagée par Miras et colorisé parAnna

Comme des papillons

Une épopée démarrant en 1983, tandis que le club végète. Mais cette équipe parisienne, à une époque où le microcosme de l’ovalie se situe encore pleinement dans le Sud-Ouest, tient en son sein un groupe prêt à tout faire exploser.

Des parigots, comme leurs rivaux sudistes doivent sûrement les appeler, surtout en voyant certains de leurs comportements. Car la flambe et les médias, les attirent grandement. Cependant le jeu tout autant ! Et c’est par cette révolution, couplée à une décision du club de mettre en place un entraîneur ouvert à ce changement, que les rouages vont s’engranger.

On suivra donc cette aventure tactique, écrite avec justesse pour ne pas se cantonner aux accros du sport en question. Permettant sans foncièrement en être féru.e.s, de remarquer les divers genres de rugbymen que sont Éric Blanc, Philippe Guillard et Jean-Baptiste Lafond. Auxquels viendra se greffer Franck Mesnel. Que l’on pourrait aisément surnommer l’architecte de ce renouveau. Vous comprendrez pourquoi, à son parcours estudiantin.

Car c’est aussi ça le sport et plus encore à l’époque pour le rugby. Préparer sa reconversion ! Si ce n’est travailler et quitter ses espoirs de professionnalisme sportif. Des sujets très présents et nous guidant jusqu’à cette fameuse création de la marque Eden Park. Et de tout ce qui l’a entourée, par les effets événementiels que lançaient ces gaillards. Pour déstabiliser, faire parler davantage d’eux, leur ouvrir les portes du « Showbizz »…

Le style de Miras offre lui un impact digne d’un pilier ! Le ton plutôt réaliste, mais sans chercher à le devenir complètement, permet d’aisément reconnaître les joueurs. Tout en possédant un trait reflétant les marques laissées par la pratique du rugby.

Conclusion

Aventure d’amitié et de vie personnelle, en savoir plus sur leur apport si spécial dans ce sport et leur volonté allant avec, pousse à soi-même croire en ses convictions. Une bande dessinée que l’on ne risque pas de balancer comme une pénaltouche.