Chronique bande dessinée Dino Park T2

L’attraction fomentée par Arnaud Plumeri à l’écriture, Bloz au dessin et Pierre Schelle à la couleur, ouvre à nouveau ses portes et ses pages, avec Dino Park T2 (Bamboo Édition). Un volume pour rester mordu.e de cette désormais série ?Dino Park T2

Une chose est sûre à propos de potentiel.le.s mordu.e.s, certaines personnes n’y couperont durant l’aventure. Celle-ci enchaînera toujours des gags. Où l’éventuel danger se fait sentir, chez une partie de ces créatures créées en laboratoires pour divertir. Heureusement cela reste une B.D. humoristique et non un souhait.

Ainsi, on croisera le personnel déjà rencontré lors de Dino Park T1. Dont un autre sacré numéro, le stagiaire 327 ! Kévin pour les intimes, devant son surnom numéroté à sa situation, par rapport à son poste. Vous le savez si vous avez lu la première bande dessinée. Force est de constater que si ça continue, ses collègues apprendront son prénom. Car, on le remarquera fréquemment avec toutefois une variété d’approches : il a une incroyable capacité à se défaire des crocs des dinos. Ou encore à cavaler plus vite qu’elles et eux.

Au passage, cela s’avèrera une bonne occasion de découvrir plusieurs de ces créatures lui en voulant. Mais également au cours de bien d’autres saynètes, on aura droit à la découverte de dinosaures méconnu.e.s. Dino Park T2 se voulant à la fois pédagogique, des vignettes informatives sont inclues à ces séquences, afin d’en savoir davantage sur cette catégorie en question. Avec en sus une pointe humoristique, propre à celles et ceux sévissant en ces lieux.

Au sein même des histoires d’ailleurs on en apprendra également. En marge des 6 pages pédagogiques, nous plongeant vers les créatures marines, le diplodocus, les couleurs des dinosaures… Il est peu sûr que cela intéresse le propriétaire Crésus, ayant plutôt une passion pour l’argent. Qui saura cependant mettre parfois la main à la pâte, voire dans autre chose. Les taquineries entre partenaires, même avec le patron donc, sont bien présentes, en plus des relations avec ces fantastiques animaux. Et évidemment, qui dit parc, dit public. Généralement pas le dernier pour se mettre en danger, afin de vivre une expérience.

Conclusion

Dino Park T2 mériterait que son professeur synthétise un nouveau terme : dinogolo ! Les blagues mélangées à la pédagogie fonctionnent tellement bien, qu’on en devient des dévorosaures du bouquin.