Chronique jeu de société The Sound Maker

Joueuses et joueurs de The Sound Maker (Blue Orange/Blackrock Games) faîtes du bruit ! Jonathan Favre Godal et Corentin Lebrat, ainsi que Simon Douchy (illustrateur), vous feront mettre l’ambiance en créant vous-mêmes les sons..

The Sound Maker

Affinez votre ouïe, mais soyez également rapides, car l’objectif sera de retrouver un maximum de bruitages, avant le terme de la session. Qui aura lieu après que chacun.e ait été bruiteuse/eur une ou 2 fois, selon vos envies. En sachant qu’on bénéficie déjà d’un pécule de 3 points/cartes bruit. Ainsi dans le cas où un son qu’on effectuera ne serait trouvé par l’adversité, on perdra bien un point. Même si on revêt ce rôle en première/ier et qu’on n’a donc glané quoi que ce soit par soi-même. Évitant alors l’inégalité.

Lors de son tour en 5 phases en tant que bruiteuse/eur, on devra faire deviner à la concurrence certaines images piochées et visibles par tout le monde. Pas n’importe lesquelles, car ce seront les cartes séquence qui nous indiqueront les positions et l’ordre des cartes qu’on bruitera. Les devineuses/eurs, devront être vives/vifs, afin de s’accaparer l’image correspondante par le son sur la ligne d’abord de 4, puis progressivement 2 lignes de 4. La dynamique et la difficulté montent ainsi.

The Sound Maker

Chaque gain vaudra par conséquent un point. La ou les éventuelle(s) main(s) au-dessus de celle gagnante, seront sans conséquence. Tout comme en poser une sur une mauvaise carte. Après chaque séquence de sa manche en bruiteuse/eur, on tirera une nouvelle carte pour remplacer l’espace vacant. Et une autre à disposer sur la ligne du bas, débutant donc à la 2e étape. Et on continue à faire deviner, jusqu’à la fin de son tour.

Conclusion

Créant instantanément une atmosphère tournée vers l’éclate, The Sound Maker s’avère aussi marrant par son système, que par les multiples interprétations sortant de notre esprit en tant que bruiteuse/eur.