Chronique jeu vidéo Azur Lane – Crosswave

Licence devenue un véritable phénomène, entre le jeu mobile de base, les diverses déclinaisons et sa popularité auprès de la communauté cosplay, Azure Lane tire désormais sur tout ce qui bouge. Y compris les consoles avec la PlayStation 4 et la Nintendo Switch, en sus du PC, accueillant Azur Lane – Crosswave.

Azur Lane - Crosswave

In the navy

Précisons d’ailleurs que cette critique porte sur la version PS4 et non la plus récente Switch. Nous n’évoquerons donc les quelques ajouts photographiques et les contenus téléchargeables directement inclus. Pour le reste, nous suivrons quoi qu’il en soit les aventures d’un quatuor de troupes maritimes, surpris par une nouvelle menace : les Sirens ! Nous aurons alors pour but de l’endiguer, tout en découvrant une néophyte un tantinet plus que les autres damoiselles/navires.

Cependant, elles s’avèreront extrêmement nombreuses, une qualité pour varier le trio qu’on sélectionnera au fil du temps pour les batailles. Des jeunes femmes/vaisseaux marins aux différentes caractéristiques, qu’on fait progresser au fur et à mesure de nos réussites. Et possédant en outre une triplette de donzelles en soutien. Offrant une énorme diversité dans les combinaisons. De quoi détruire des vaisseaux adverses, tenir bon face à la flotte ennemie, partir en quête d’objets…

Du classique concernant les missions. On enchaînera, avancera et après coup, aura tout de même l’occasion de s’octroyer quelques surprises en relation avec les personnages. Même si on préfère ne pas dévoiler les liens nous attendant. Mais avant d’atteindre cet objectif, vous pourrez aussi les photographier et vous croire dans un shooting cosplay Azur Lane – Crosswave.

Azur Lane - Crosswave

Un jeu waifu-fu

Caractéristique emblématique de la marque, les plus ou moins jeunes femmes tirant à tour de bras. Celles qui marquent depuis un bout de temps les cosplayeuses et cosplayers comme nous le signalions. Tant par leur charisme, car l’aventure bénéficie de nombreux dialogues pour s’y attacher. Que par leurs costumes et leur genre. Justement, il y a de quoi faire au niveau des tuniques. Avec certes du plus ou moins vêtu, mais surtout des styles sublimes dans les coupes et les couleurs. Toujours avec ce sens du détail dans les plis pour intensifier chaque revers et nous donner l’impression de remarquer la qualité des tissus.

On évoquait la massivité des dialogues et en effet entre les phases de shoot’em up, à moins que ce ne soit l’inverse, on nous plonge dans une aventure/visual novel à la place beaucoup plus importante que celle de tir. Comme à l’accoutumée chez cet univers, qu’on peut même prolonger aux Neptunia. D’ailleurs les accros à cette autre saga pourront s’offrir un cadeau afin de mêler les 2 au sein d’Azur Lane – Crosswave.

Les textes en anglais, avec doublages japonais ou anglais, seront accompagnés de fantastiques visuels des protagonistes. On y gagne énormément avec ce gap technique. Un aspect valable aussi pour le passage en 3D, permettant de complètement admirer nos héroïnes.

Azur Lane - Crosswave

Conclusion

S’inscrivant dans la droite lignée de la version mobile, avec évidemment de fortes évolutions notamment graphiques, Azur Lane – Crosswave s’avère un jeu de tir sympathique, couplé à un énorme visual novel, tout autant qu’une vraie collection de ses héroïnes favorites. D’ailleurs complètement à l’instar de son pendant sur portables.