S’inscrivant dans la collection Cartographie de l’imaginaire, de Bragelonne, ce nouvel épisode aux cartes d’Alexia F.Cadou, d’après l’originelle d’Ellisa Mitchell, et illustré par Didier Graffet, nous plongera dans l’une des licences de fantasy les plus appréciées actuellement. Vous aurez deviné au titre La Roue du Temps La carte de l’univers, qu’il s’agit de l’univers de Robert Jordan et Brandon Sanderson.
La gamme reprend les codes qu’elle a instaurés l’an passé, via d’autres cultes des littératures de l’imaginaire. En l’occurrence, Le Sorceleur La carte de l’univers et Conan La carte de l’univers.
Ainsi, on découvre un livre qui, d’extérieur, paraît s’avérer un fin album illustré. De par les habitudes d’une telle taille et de ses couvertures rigides. Cependant en l’ouvrant, ce sont des surprises à la carte qui se dévoilent ! Les cartes justement, de 59×83 centimètres, révèlent divers éléments de la franchise.
Évidemment, géographiquement déjà en tant que cartes. On repère ainsi les lieux aisément, pour se replonger dans les actions en ayant une meilleure vision des choses. Moult évènements sont de cette manière mieux appréhender, par rapport à des décisions et autre enjeux, de passer par tel endroit, s’en accaparer un autre…
D’autant plus avec les jeux de couleurs de celle du recto, signalant instinctivement les multiples types. En sus de la typographie de l’œuvre, démontrant que le travail fut extrêmement soigné pour tout repérer. Détailler les reliefs, les propriétés naturelles… En parallèle à un style charmant, nous envoûtant dans cet univers à l’identité fantastique.
Conclusion
La Roue du Temps La carte de l’univers, confirme la dualité de cette série d’ouvrages. Tant on nous y dévoile un important travail précis, enrichissant notre prise de conscience sur les multiples situations de la saga par rapport aux lieux. Mais aussi des bijoux artistiques, dans lesquels on se perd volontiers.