Mettant la relation d’une fan avec le cinéma sous les projecteurs, l’œuvre d’Uhei Aoki a justement connu depuis les honneurs des écrans… Tout du moins en drama sur la NHK ! Mais c’est par le manga d’origine chez Kurokawa que nous allons pouvoir la découvrir, via Dans la peau de Miwa T1, traduit par Gaëlle Ruel.
Travaillant dans un vidéo-club, et oui il en existe encore, Miwa Kubota semble au moins se situer dans son élément au sein de ce boulot. Elle qui les enchaîne du haut de ses 29 ans, sans réussir à se stabiliser, ni à connaître une certaine vie sociale. Réservée et mal à l’aise avec autrui, elle n’arrive absolument pas à se lier. Suscitant même les moqueries, notamment à cause de sa passion pour le septième art.
Particularité qui la fera même rapidement renvoyée, suite à une altercation avec des clients pourtant insupportables. Tandis qu’elle n’était pas en tort. Un coup et même un accident du destin pourrait-on songer, lui ouvre cependant l’occasion de devenir gouvernante de son acteur fétiche : Takashi Yatsumi.
Enfin à ceci près, qu’elle usurpe l’identité de celle censée endosser ce rôle. L’obligeant à mêler des capacités professionnelles qu’elle ne possède pas nécessairement, au trouble ressenti en se trouvant aux côtés de son idole. Tout en s’avérant désormais hors-la-loi et risquant gros si on la démasque…
Conclusion
Des sentiments touchants en suivant cette jeune femme, d’ailleurs beaucoup se retrouveront justement Dans la peau de Miwa, on transite vers une histoire à suspense… pouvant se transformer en romance ?