Disponible simultanément en version classique, c’est sur Moi, quand je me réincarne en Slime T19 Édition Limitée que nous allons nous pencher. Kurokawa nous habitue à de telles sorties et désormais c’est le manga de Taiki Kawakami, puisant au sein de l’œuvre originale de Fuse, aux protagonistes de Mitz Vah et traduit par Erica Moriya, qui en profite.
La nuit de Walpurgis poursuit son cours, néanmoins pas nécessairement celui attendu en amont de la réunion. L’affrontement à multiples échelles s’avère désormais pleinement lancé et apparemment avancé. « Apparemment », car des tendances semblent s’indiquer sur les batailles pas si rangées prenant place.
D’autant que la franchise apprécie, comme tout shônen avec de l’action, les rebondissements. Et il y en aura encore pléthore durant ce manga, mais également à venir. La raison pour laquelle on ne pourra vraiment glisser que peu d’éléments au sein de cette critique. Toutefois, on avait pu constater lors du précédent épisode, que Klein paraissait cacher sa vraie nature. Il s’agit du bon moment pour véritablement franchir un cap à ce sujet, bouleversant la donne. Le pierrot fou qu’il dissimulait jusque-là, permettra de renverser la situation et d’équilibrer l’affrontement face au camp de Limule.
Cette sortie s’inscrit dans la gamme où Kurokawa nous délivre, en sus de la couverture de base, une jaquette bonus. Cette dernière particulièrement plus diabolique que la classique de ce volume, offre une vraie diversité entre les 2, aussi frappantes l’une et l’autre. Soit un atout systématiquement appréciable, lors de la présence d’une pochette alternative. Le second bonus sera une plaque métallique Collector. Elle beaucoup plus douce avec son bleu clair et ses légers nuages. Ce qui n’empêche nos personnages en relief, de partir à l’attaque comme vous le constatez en image.
Conclusion
Grosses bataille et révélations pour un Moi, quand je me réincarne en Slime T19 puissant, mais dont on sent déjà qu’il n’est « qu’un » tremplin pour encore plus dévastateur.