Chronique manga Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T3

Malgré son humour, cette œuvre annexe signée Tae Tono, au chara-design de Mitz Vah, de la franchise de Fuse, grimpe en sérieux. Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T3 (Kurokawa), traduit par Ryoko Akiyama, officiant même dans le dramatique.

Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T3

Les humains venus s’en prendre à ce qu’ils nomment des monstres, démontrent avec torpeur et violence, à quel point ce sont eux que la monstruosité habite. Et cette séquence prenant quasiment l’intégralité de ce volet, ne s’articule pas juste dans un moment d’affrontement, comme on peut en découvrir usuellement au sein de la saga Slime.

Il s’agit carrément d’une véritable horreur ! Un carnage où chaque attaque, peu importe les destinataires, est évidemment ignoble. Toutefois afin d’intensifier l’impact, ce sont particulièrement les enfants pris.es pour cibles, qui nous seront dévoilé.e.s.

Malgré les missions premières de Phos, Stella et Nemu, on sent à quel point cette offensive sur la fédération de Jura Tempest, les touche d’autant plus pour s’allier. Les émotions, les liens déjà créés ou encore le respect des requêtes de Limule, les guidant pleinement. De même que les relations déjà nouées avec des personnes du coin, désormais en piètre état.

Conclusion

Poignant, Moi, quand je me réincarne en Slime – Trinité T3 fait franchir un gap dans l’approche de ce dérivé !