Débutant en triplette pour sa réédition à 3€ le numéro chez Kurokawa, le pan signé Shiori Teshirogi ,dans la saga de Masami Kurumada et traduit par Pierre Giner, arrive désormais au pic de ce démarrage, avec Saint Seiya Les Chevaliers du Zodiaque The Lost Canvas – La Légende d’Hadès T3. Un tome justement piquant !
Yuzuriha, Yato et Tenma semblent en avoir bientôt fini avec leur mission plus qu’aux portes de l’au-delà. Néanmoins, s’en extirper ne paraît pas si évident. Même si le trio arrive à se débarrasser des éventuels contrevenants. Mais le temps presse, alors que la bataille fait rage sur Terre.
Car pour en revenir au piquant évoqué en introduction, ce volume nous fait rencontrer Albafica, le Chevalier d’Or des Poissons. Et concrètement, également celui des poisons. On découvrira à ce propos son triste sort depuis sa jeunesse, restant éloigné des autres pour ne les mettre en danger. Une particularité sanguine et sanglante, qui pourrait toutefois lui permettre de retarder les spectres, dans leur offensive vers le Sanctuaire. Ainsi que sur le village à proximité, qu’il a promis de protéger. L’émotion se mêlant toujours à la baston chez les CDZ. Au même titre que le poison s’amalgame au sang du combattant en question.
La promesse s’avèrera toutefois rude à tenir. Si des soldats basiques et juste un qui s’avèrera un peu plus malin lui feront face, un des 12 plus forts protecteurs d’Athéna devrait s’en sortir. En revanche, derrière ce menu-fretin supposé, se dresse Minos du Griffon. Un des trois grands généraux d’Hadès. Ce qui nous permettra déjà de jauger la puissance d’un tel statut. Et encore, on est loin d’avoir tout vu sur les capacités offertes par leur dieu.
Conclusion
L’horreur de la guerre et le touchant des relations s’entremêlent et colorent la rose blanche représentée par Saint Seiya Les Chevaliers du Zodiaque The Lost Canvas – La Légende d’Hadès T3. Hâte de découvrir la suite, de même que ses intéressants bonus.