Parmi les séries mangas en cours de diffusion en France, celle-ci de Naoki Mizuguchi fait assurément partie de celles envers qui on a un sacré coup uppercut de cœur ! D’ailleurs concernant les frappes et les sentiments, la licence en connait un rayon et Saotome T7 (Doki-Doki) devrait nous le confirmer.
Précisément, elle s’inscrit dans cette dualité. Car ça cogne plutôt sérieusement dans le coin boxe. En revanche pour le côté cœur, les personnages sont bien moins adroits. Et pas que notre couple vedette. Enfin les mauvaises langues diraient que Saotoru évolue donc au même niveau dans son sport, que dans sa relation avec Yae. D’ailleurs pour les contacts physiques, ça ne semble s’arranger entre les 2.
Sur le ring, Saotome risque d’être déstabilisée par sa rencontre à l’entraînement avec la vedette des boxeuses amatrices. Que son petit ami semble bien connaître, au même titre que sa sœur déboulant à leur lycée. Notre héroïne découvrira un autre monde devant elle, avec cette réunion entre celles visant la qualification pour les Jeux Olympiques. Ce qui permettra de commencer à pointer l’aspect double de ces athlètes. Entre les jeunes à l’école et celles salariées.
Satoru sera tout autant décontenancé, mais davantage hors salle. Avec l’histoire de la jeunesse de Wakano, à laquelle il est particulièrement mêlé. Approfondissant encore le côté sensible de cette franchise. Néanmoins l’humour restera de la partie. Dont via des discussions de groupe sur téléphone, entre les chapitres. Ou encore par les gentilles truanderies de leur manageuse.
Conclusion
Encore une bonne marrade et à la fois des instants touchants, sans besoin d’enfiler les gants, confirmant avec Saotome T7 que la saga ne faiblit entre les rounds.